
Hodeidah - Saba - Jamil Al-Qasham :
Partout au Yémen, les places vibrent chaque vendredi avec une scène débordante de détermination et de résolution. Des foules sortent des villes et des villages, menées par des banderoles et des chants, dans une scène populaire devenue familière dans sa forme, renouvelée dans sa signification et qui prend de l'ampleur. À chaque pas, il porte l’écho de Jérusalem (Al-Qods) et la douleur de Gaza, et à chaque chant, il incarne la fermeté du Yémen et la volonté de son peuple libre.
Les gouvernorats yéménites accueillent des convois humains venant de toutes les directions, créant une scène renouvelée de présence populaire solide et d'allégeance sincère aux problèmes de la nation, dans une incarnation pratique de l'unité de but et de position. Dans chaque arène, la conscience collective s’élève comme une seule voix, scandant pour Gaza, Jérusalem (Al-Qods) et la Palestine, menaçant les agresseurs et remodelant le paysage politique du point de vue des peuples qui ont décidé de ne pas revenir en arrière et de ne pas accepter des positions mitigées.
Les marches, qui ont eu lieu sur des centaines de places dans les gouvernorats et les districts, incarnent la réponse populaire la plus éloquente à toutes les tentatives de soumission et de domination. Ils affirment que le Yémen est au cœur de la bataille, consciemment, avec confiance et fermeté, inébranlable face aux menaces et inébranlable face aux pressions.
Dans la capitale, Sanaa, qui est à la pointe de la sensibilisation et de l'action, la place Al-Sabeen a été le théâtre d'une majestueuse marche d'un million de personnes, remplie de foules en liesse. Pendant ce temps, les districts du gouvernorat de Sanaa se sont transformés en scènes éblouissantes d'interaction populaire et de mobilisation généralisée, une manifestation pratique du lien profond avec la cause palestinienne et la preuve que Sanaa était et restera le cœur battant des principaux problèmes de la nation.
À Hodeidah, les marches s'étendent le long de la côte ouest, d'Al-Zahra au nord à Al-Jarrahi au sud. Chaque vendredi, ils se transforment en une démonstration de loyauté sur le terrain, avec les habitants de la mer Rouge scandant un slogan et une bannière, sans compromis sur les principes.
Pendant ce temps, à Saada, berceau de la révolution, les marches sont aussi grandes que la blessure palestinienne au cœur du Yémen. Les slogans se mêlent aux takbirs, des voix s'élèvent pour désavouer les ennemis de la nation et des images des martyrs qui ont donné leur vie pour la Palestine avant le Yémen sont brandies.
Taiz, Ibb et Dhamar connaissent également un élan populaire croissant, confirmant qu’il n’y a pas de séparation entre la géographie et la position, et que chaque gouvernorat yéménite, quelle que soit sa situation géographique, se tient sur un front conscient et résolu contre ce qui se passe à Gaza.
À Bayda, Jawf et Ma'rib, les foules envoient des messages puissants venant du cœur des tribus authentiques : la Palestine n'est pas un slogan médiatique, mais le cœur du conflit et la clé de la dignité et de l'identité.
Dans les gouvernorats de Raymah, Hajjah, Mahwit, Ad Dhali et d'autres, les foules se sont rassemblées malgré le terrain accidenté, peignant une image de loyauté et de courage, tout en affirmant simultanément qu'aucune voix n'est plus forte que celle de la Palestine, et aucune cause n'est plus sublime que sa cause. Tous, des montagnes aux plaines, ont scandé d’une seule voix que la Palestine est présente dans leurs cœurs et dans leurs positions.
Les marches d’un million de personnes dans la capitale et dans les gouvernorats se distinguent par leur contenu politique, intellectuel et mobilisateur. Leurs foules affirment leur fermeté envers la Palestine, leurs déclarations renouvellent leur mobilisation et des slogans flottent qui lèvent les masques de la normalisation, exposent la trahison et consacrent les valeurs de dignité, de souveraineté et de liberté.
Ces marches coïncident avec un événement crucial provoqué par le courage et la résilience du peuple yéménite, représenté par le retrait de l’ennemi américain de son agression contre le Yémen après son échec lamentable à atteindre ses objectifs. Cette victoire est due, avant tout, à Dieu Tout-Puissant et à la persévérance et à la résistance du peuple yéménite, qui a imposé l’équation de la dissuasion.
Les développements actuels reflètent la sagesse du leader de la révolution, Sayyed Abdulmalik Badr al-Din al-Houthi, qui a souligné dès le début la capacité du Yémen à faire face à l'agression américaine sans aucun impact sur son soutien à la Palestine. Les forces armées l’ont démontré à travers des opérations qualitatives, au cours desquelles elles ont abattu des avions américains avancés et ciblé des porte-avions et des navires de guerre, confirmant que le Yémen est devenu une force redoutable dans l’équation de dissuasion régionale.
Les observateurs ont convenu à l’unanimité que le Yémen avait forcé l’Amérique à mettre fin à son agression sans offrir aucune concession. Ils ont souligné que Sanaa s’était révélée être le centre de prise de décision souveraine et qu’elle menait un changement stratégique dans l’équilibre des pouvoirs dans la région, compte tenu de sa capacité à résister et à défier les grandes puissances.
Cette réalisation, saluée par de nombreux pays et organisations, représente une reconnaissance implicite du droit du Yémen à se défendre et met en évidence les prétentions de Washington concernant sa « mission défensive », dont l’échec l’a poussé à demander un cessez-le-feu.
En revanche, la couverture médiatique israélienne a révélé un état de colère et d’inquiétude au sein de l’entité occupante face à cet accord, qui place Tel-Aviv dans une confrontation directe et unilatérale avec le Yémen et ouvre la porte à une escalade qualitative du soutien yéménite à Gaza et à la résistance palestinienne.
La position officielle sur les marches est fortement présente, accompagnée de déclarations et de déclarations de la direction de la révolution et du Conseil politique suprême, affirmant que le soutien à la Palestine n'est pas soumis à des considérations politiques, mais plutôt à un engagement religieux, moral et humanitaire ferme, et que l'accord n'inclut en aucune façon l'entité ennemie sioniste.
Les manifestants réitèrent que la bataille est ouverte et que le Yémen est présent en son cœur, de toutes les manières et dans tous les domaines, depuis les places qui résonnent de colère, jusqu'à la mer qui coupe les approvisionnements, jusqu'aux missiles qui parviennent jusqu'à l'ennemi. Ils soulignent également que la réponse à toute escalade sera proportionnée au défi.
Les marches d’un million de personnes envoient un message sans équivoque : le Yémen n’est pas brisé, les défis n’ont pas affaibli sa détermination, mais ont au contraire renforcé sa conscience et sa résilience, et tous les calculs de l’ennemi basés sur l’épuisement et la soumission sont tombés aux pieds des masses, qui ont prouvé que la volonté d’un peuple libre est invincible.
Avec les positions des régimes normalisateurs exposées et le silence abondant des institutions internationales, le Yémen, à la fois populairement et officiellement, avance comme une plate-forme solide pour la dignité arabe, élevant sa voix là où d’autres restent silencieux, restant ferme là où les complaisants se retirent, et affirmant que toute bataille qui n’a pas la Palestine à son premier plan est dénuée de sens.
Les marches hebdomadaires au Yémen restent plus qu’une simple présence de masse ; C'est une déclaration continue que cette nation ne mourra jamais, que les causes justes ne seront jamais oubliées et que le Yémen, qui a affronté les guerres les plus féroces et en est sorti victorieux, restera présent avec sa culture de foi, sa conscience populaire et sa volonté constante de remplir son engagement envers les causes de la nation. Chaque place devient un front, chaque chant une position, et chaque vendredi une station de mobilisation sur le chemin de la libération et de la victoire.
Partout au Yémen, les places vibrent chaque vendredi avec une scène débordante de détermination et de résolution. Des foules sortent des villes et des villages, menées par des banderoles et des chants, dans une scène populaire devenue familière dans sa forme, renouvelée dans sa signification et qui prend de l'ampleur. À chaque pas, il porte l’écho de Jérusalem (Al-Qods) et la douleur de Gaza, et à chaque chant, il incarne la fermeté du Yémen et la volonté de son peuple libre.
Les gouvernorats yéménites accueillent des convois humains venant de toutes les directions, créant une scène renouvelée de présence populaire solide et d'allégeance sincère aux problèmes de la nation, dans une incarnation pratique de l'unité de but et de position. Dans chaque arène, la conscience collective s’élève comme une seule voix, scandant pour Gaza, Jérusalem (Al-Qods) et la Palestine, menaçant les agresseurs et remodelant le paysage politique du point de vue des peuples qui ont décidé de ne pas revenir en arrière et de ne pas accepter des positions mitigées.
Les marches, qui ont eu lieu sur des centaines de places dans les gouvernorats et les districts, incarnent la réponse populaire la plus éloquente à toutes les tentatives de soumission et de domination. Ils affirment que le Yémen est au cœur de la bataille, consciemment, avec confiance et fermeté, inébranlable face aux menaces et inébranlable face aux pressions.
Dans la capitale, Sanaa, qui est à la pointe de la sensibilisation et de l'action, la place Al-Sabeen a été le théâtre d'une majestueuse marche d'un million de personnes, remplie de foules en liesse. Pendant ce temps, les districts du gouvernorat de Sanaa se sont transformés en scènes éblouissantes d'interaction populaire et de mobilisation généralisée, une manifestation pratique du lien profond avec la cause palestinienne et la preuve que Sanaa était et restera le cœur battant des principaux problèmes de la nation.
À Hodeidah, les marches s'étendent le long de la côte ouest, d'Al-Zahra au nord à Al-Jarrahi au sud. Chaque vendredi, ils se transforment en une démonstration de loyauté sur le terrain, avec les habitants de la mer Rouge scandant un slogan et une bannière, sans compromis sur les principes.
Pendant ce temps, à Saada, berceau de la révolution, les marches sont aussi grandes que la blessure palestinienne au cœur du Yémen. Les slogans se mêlent aux takbirs, des voix s'élèvent pour désavouer les ennemis de la nation et des images des martyrs qui ont donné leur vie pour la Palestine avant le Yémen sont brandies.
Taiz, Ibb et Dhamar connaissent également un élan populaire croissant, confirmant qu’il n’y a pas de séparation entre la géographie et la position, et que chaque gouvernorat yéménite, quelle que soit sa situation géographique, se tient sur un front conscient et résolu contre ce qui se passe à Gaza.
À Bayda, Jawf et Ma'rib, les foules envoient des messages puissants venant du cœur des tribus authentiques : la Palestine n'est pas un slogan médiatique, mais le cœur du conflit et la clé de la dignité et de l'identité.
Dans les gouvernorats de Raymah, Hajjah, Mahwit, Ad Dhali et d'autres, les foules se sont rassemblées malgré le terrain accidenté, peignant une image de loyauté et de courage, tout en affirmant simultanément qu'aucune voix n'est plus forte que celle de la Palestine, et aucune cause n'est plus sublime que sa cause. Tous, des montagnes aux plaines, ont scandé d’une seule voix que la Palestine est présente dans leurs cœurs et dans leurs positions.
Les marches d’un million de personnes dans la capitale et dans les gouvernorats se distinguent par leur contenu politique, intellectuel et mobilisateur. Leurs foules affirment leur fermeté envers la Palestine, leurs déclarations renouvellent leur mobilisation et des slogans flottent qui lèvent les masques de la normalisation, exposent la trahison et consacrent les valeurs de dignité, de souveraineté et de liberté.
Ces marches coïncident avec un événement crucial provoqué par le courage et la résilience du peuple yéménite, représenté par le retrait de l’ennemi américain de son agression contre le Yémen après son échec lamentable à atteindre ses objectifs. Cette victoire est due, avant tout, à Dieu Tout-Puissant et à la persévérance et à la résistance du peuple yéménite, qui a imposé l’équation de la dissuasion.
Les développements actuels reflètent la sagesse du leader de la révolution, Sayyed Abdulmalik Badr al-Din al-Houthi, qui a souligné dès le début la capacité du Yémen à faire face à l'agression américaine sans aucun impact sur son soutien à la Palestine. Les forces armées l’ont démontré à travers des opérations qualitatives, au cours desquelles elles ont abattu des avions américains avancés et ciblé des porte-avions et des navires de guerre, confirmant que le Yémen est devenu une force redoutable dans l’équation de dissuasion régionale.
Les observateurs ont convenu à l’unanimité que le Yémen avait forcé l’Amérique à mettre fin à son agression sans offrir aucune concession. Ils ont souligné que Sanaa s’était révélée être le centre de prise de décision souveraine et qu’elle menait un changement stratégique dans l’équilibre des pouvoirs dans la région, compte tenu de sa capacité à résister et à défier les grandes puissances.
Cette réalisation, saluée par de nombreux pays et organisations, représente une reconnaissance implicite du droit du Yémen à se défendre et met en évidence les prétentions de Washington concernant sa « mission défensive », dont l’échec l’a poussé à demander un cessez-le-feu.
En revanche, la couverture médiatique israélienne a révélé un état de colère et d’inquiétude au sein de l’entité occupante face à cet accord, qui place Tel-Aviv dans une confrontation directe et unilatérale avec le Yémen et ouvre la porte à une escalade qualitative du soutien yéménite à Gaza et à la résistance palestinienne.
La position officielle sur les marches est fortement présente, accompagnée de déclarations et de déclarations de la direction de la révolution et du Conseil politique suprême, affirmant que le soutien à la Palestine n'est pas soumis à des considérations politiques, mais plutôt à un engagement religieux, moral et humanitaire ferme, et que l'accord n'inclut en aucune façon l'entité ennemie sioniste.
Les manifestants réitèrent que la bataille est ouverte et que le Yémen est présent en son cœur, de toutes les manières et dans tous les domaines, depuis les places qui résonnent de colère, jusqu'à la mer qui coupe les approvisionnements, jusqu'aux missiles qui parviennent jusqu'à l'ennemi. Ils soulignent également que la réponse à toute escalade sera proportionnée au défi.
Les marches d’un million de personnes envoient un message sans équivoque : le Yémen n’est pas brisé, les défis n’ont pas affaibli sa détermination, mais ont au contraire renforcé sa conscience et sa résilience, et tous les calculs de l’ennemi basés sur l’épuisement et la soumission sont tombés aux pieds des masses, qui ont prouvé que la volonté d’un peuple libre est invincible.
Avec les positions des régimes normalisateurs exposées et le silence abondant des institutions internationales, le Yémen, à la fois populairement et officiellement, avance comme une plate-forme solide pour la dignité arabe, élevant sa voix là où d’autres restent silencieux, restant ferme là où les complaisants se retirent, et affirmant que toute bataille qui n’a pas la Palestine à son premier plan est dénuée de sens.
Les marches hebdomadaires au Yémen restent plus qu’une simple présence de masse ; C'est une déclaration continue que cette nation ne mourra jamais, que les causes justes ne seront jamais oubliées et que le Yémen, qui a affronté les guerres les plus féroces et en est sorti victorieux, restera présent avec sa culture de foi, sa conscience populaire et sa volonté constante de remplir son engagement envers les causes de la nation. Chaque place devient un front, chaque chant une position, et chaque vendredi une station de mobilisation sur le chemin de la libération et de la victoire.