Sanaa - Saba :
Le Centre Eye of Humanity (Œil de l’Humanité, Ain Al-Insaniyah) a condamné hier mardi l'agression sioniste-américaine qui a visé l'aéroport international de Sanaa, les centrales électriques de Dhahban et de Hizyaz, l'usine de ciment d'Amran et la région d'Asr (Aser), entraînant la mort et les blessures de 38 civils.
Le centre a confirmé dans un communiqué reçu hier par l'agence de presse yéménite (Saba) que ce ciblage intervient moins de 11 heures après le ciblage du port de Hodeidah et de l'usine de ciment de Bajil, qui a entraîné la mort et les blessures de personnes et la destruction du port et de l'usine.
Il a expliqué que les crimes de guerre sionistes et américains s'ajoutent au bilan sanglant de l'entité ennemie, qui ne respecte pas le droit international et humanitaire. Il a souligné que le fait de cibler des civils et des installations de service civil, ainsi que de détruire une usine de ciment, constitue un crime complexe contre l’humanité et contre la vie.
La déclaration condamne l'agression brutale américano-sioniste visant un peuple dont la seule demande est de mettre fin aux massacres et au génocide contre des innocents dans la bande de Gaza. Elle dénonce également le silence de la communauté internationale, qui brandit des slogans en faveur des droits de l'homme tout en fermant les yeux sur les massacres commis par les grandes puissances.
Elle a souligné que cibler les infrastructures civiles et empêcher la livraison de fournitures essentielles constitue un siège injuste visant à affamer et à humilier les gens, une pratique rejetée par toutes les lois divines et les conventions internationales. Il a demandé : « Comment le monde peut-il justifier le bombardement d’un aéroport civil, de centrales électriques et d’usines de ciment ? »
Le Centre a appelé la communauté internationale et les Nations Unies à prendre des mesures immédiates pour condamner et mettre fin à l’agression, traduire les auteurs des crimes devant la Cour pénale internationale et demander des comptes à tous ceux qui les financent, les arment ou les justifient.
Le Centre Eye of Humanity (Œil de l’Humanité, Ain Al-Insaniyah) a condamné hier mardi l'agression sioniste-américaine qui a visé l'aéroport international de Sanaa, les centrales électriques de Dhahban et de Hizyaz, l'usine de ciment d'Amran et la région d'Asr (Aser), entraînant la mort et les blessures de 38 civils.
Le centre a confirmé dans un communiqué reçu hier par l'agence de presse yéménite (Saba) que ce ciblage intervient moins de 11 heures après le ciblage du port de Hodeidah et de l'usine de ciment de Bajil, qui a entraîné la mort et les blessures de personnes et la destruction du port et de l'usine.
Il a expliqué que les crimes de guerre sionistes et américains s'ajoutent au bilan sanglant de l'entité ennemie, qui ne respecte pas le droit international et humanitaire. Il a souligné que le fait de cibler des civils et des installations de service civil, ainsi que de détruire une usine de ciment, constitue un crime complexe contre l’humanité et contre la vie.
La déclaration condamne l'agression brutale américano-sioniste visant un peuple dont la seule demande est de mettre fin aux massacres et au génocide contre des innocents dans la bande de Gaza. Elle dénonce également le silence de la communauté internationale, qui brandit des slogans en faveur des droits de l'homme tout en fermant les yeux sur les massacres commis par les grandes puissances.
Elle a souligné que cibler les infrastructures civiles et empêcher la livraison de fournitures essentielles constitue un siège injuste visant à affamer et à humilier les gens, une pratique rejetée par toutes les lois divines et les conventions internationales. Il a demandé : « Comment le monde peut-il justifier le bombardement d’un aéroport civil, de centrales électriques et d’usines de ciment ? »
Le Centre a appelé la communauté internationale et les Nations Unies à prendre des mesures immédiates pour condamner et mettre fin à l’agression, traduire les auteurs des crimes devant la Cour pénale internationale et demander des comptes à tous ceux qui les financent, les arment ou les justifient.