
New York-Saba :
Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a souligné hier mercredi la nécessité d’éviter une confrontation entre l’Inde et le Pakistan.
Les médias occidentaux ont rapporté hier soir que Guterres avait exprimé son inquiétude face à l'escalade des tensions entre l'Inde et le Pakistan et avait soutenu les efforts visant à désamorcer la situation entre les deux parties.
Le Jammu-et-Cachemire, au cœur du conflit de longue date entre l'Inde et le Pakistan, connaît une nouvelle vague d'escalade suite à une attaque armée visant des civils et des touristes dans la région de Pahalgam, tuant 26 personnes, selon les médias indiens.
L'attaque a coïncidé avec une escalade des tensions sécuritaires et politiques dans la région, qui connaît depuis des décennies des tensions liées aux demandes de sécession ou d'intégration avec le Pakistan, dans un contexte d'accusations mutuelles entre les deux pays de soutenir des groupes armés dans la région.
Selon certaines informations, un groupe appelé « Résistance du Cachemire » a revendiqué l'attaque, justifiant l'opération par son opposition aux politiques de colonisation mises en œuvre par les autorités indiennes. Il s’agit du recrutement de plus de 85 000 personnes extérieures à la région, ce qui est considéré comme une tentative de modifier la composition démographique de la région.
La dernière attaque n’est pas la première du genre. Le Cachemire a été le théâtre d’attaques similaires ces dernières années, notamment en juin 2024, lorsque neuf personnes ont été tuées et des dizaines blessées lors d’une attaque contre un bus transportant des hindous.
Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a souligné hier mercredi la nécessité d’éviter une confrontation entre l’Inde et le Pakistan.
Les médias occidentaux ont rapporté hier soir que Guterres avait exprimé son inquiétude face à l'escalade des tensions entre l'Inde et le Pakistan et avait soutenu les efforts visant à désamorcer la situation entre les deux parties.
Le Jammu-et-Cachemire, au cœur du conflit de longue date entre l'Inde et le Pakistan, connaît une nouvelle vague d'escalade suite à une attaque armée visant des civils et des touristes dans la région de Pahalgam, tuant 26 personnes, selon les médias indiens.
L'attaque a coïncidé avec une escalade des tensions sécuritaires et politiques dans la région, qui connaît depuis des décennies des tensions liées aux demandes de sécession ou d'intégration avec le Pakistan, dans un contexte d'accusations mutuelles entre les deux pays de soutenir des groupes armés dans la région.
Selon certaines informations, un groupe appelé « Résistance du Cachemire » a revendiqué l'attaque, justifiant l'opération par son opposition aux politiques de colonisation mises en œuvre par les autorités indiennes. Il s’agit du recrutement de plus de 85 000 personnes extérieures à la région, ce qui est considéré comme une tentative de modifier la composition démographique de la région.
La dernière attaque n’est pas la première du genre. Le Cachemire a été le théâtre d’attaques similaires ces dernières années, notamment en juin 2024, lorsque neuf personnes ont été tuées et des dizaines blessées lors d’une attaque contre un bus transportant des hindous.