
Saada - Saba :
Les équipes d'urgence du Centre exécutif d'action contre les mines a confirmée hier mardi que ses équipes techniques ont trouvé des restes de la bombe anti-bunker américaine GBU-39 JDAM, qui a été utilisée pour cibler le bâtiment du refuge pour migrants africains, tuant et blessant environ 115 d'entre eux
Le centre a souligné dans un communiqué reçu par l'agence de presse yéménite (Saba) que les effets et l'ampleur de la destruction prouvent qu'elle a été causée par ce type d'arme américaine, et cela est confirmé par ce qui est publié sur la page du Commandement central des États-Unis (CENTCOM) concernant l'armement des avions américains avec ce type d'arme internationalement interdit.
Le centre a participé à la récupération des corps des victimes de l'attaque américaine contre le refuge pour immigrants illégaux dans le gouvernorat de Saada. Cela fait partie de la responsabilité du centre d’éliminer les munitions non explosées et les dangers des armes résiduelles.
Le Centre a souligné que l'utilisation de ce type d'armes hautement explosives et leur impact sur des biens civils sans prendre ou observer les mesures de précaution les plus simples pour protéger les civils et les lieux de détention constituent une grave violation du droit international en vertu de l'article (8) et également de ce qui est stipulé dans les quatre Conventions de Genève et les protocoles internationaux qui y sont annexés.
Il a déclaré que cette bombe est considérée comme l'un des types d'armes interdites au niveau international les plus dangereuses et les plus impactantes contre les civils et les biens civils, car la température lors de son explosion atteint 3 500 degrés Celsius. Son utilisation conduit à la propagation généralisée du cancer, à des malformations congénitales et à des naissances mortelles. Il détruit également l’environnement, polluant le sol, l’air et les eaux souterraines, et éliminant la vie naturelle dans les zones touchées.
Le Centre a souligné la nécessité de respecter toutes les exigences du droit international humanitaire et de respecter les exigences relatives à l’usage de la force, notamment en protégeant le droit à la vie des civils et en s’abstenant d’utiliser des bombes interdites au niveau international dans des attaques aveugles, car elles entraînent de nombreuses pertes civiles et des dommages importants aux biens civils.
Les équipes d'urgence du Centre exécutif d'action contre les mines a confirmée hier mardi que ses équipes techniques ont trouvé des restes de la bombe anti-bunker américaine GBU-39 JDAM, qui a été utilisée pour cibler le bâtiment du refuge pour migrants africains, tuant et blessant environ 115 d'entre eux
Le centre a souligné dans un communiqué reçu par l'agence de presse yéménite (Saba) que les effets et l'ampleur de la destruction prouvent qu'elle a été causée par ce type d'arme américaine, et cela est confirmé par ce qui est publié sur la page du Commandement central des États-Unis (CENTCOM) concernant l'armement des avions américains avec ce type d'arme internationalement interdit.
Le centre a participé à la récupération des corps des victimes de l'attaque américaine contre le refuge pour immigrants illégaux dans le gouvernorat de Saada. Cela fait partie de la responsabilité du centre d’éliminer les munitions non explosées et les dangers des armes résiduelles.
Le Centre a souligné que l'utilisation de ce type d'armes hautement explosives et leur impact sur des biens civils sans prendre ou observer les mesures de précaution les plus simples pour protéger les civils et les lieux de détention constituent une grave violation du droit international en vertu de l'article (8) et également de ce qui est stipulé dans les quatre Conventions de Genève et les protocoles internationaux qui y sont annexés.
Il a déclaré que cette bombe est considérée comme l'un des types d'armes interdites au niveau international les plus dangereuses et les plus impactantes contre les civils et les biens civils, car la température lors de son explosion atteint 3 500 degrés Celsius. Son utilisation conduit à la propagation généralisée du cancer, à des malformations congénitales et à des naissances mortelles. Il détruit également l’environnement, polluant le sol, l’air et les eaux souterraines, et éliminant la vie naturelle dans les zones touchées.
Le Centre a souligné la nécessité de respecter toutes les exigences du droit international humanitaire et de respecter les exigences relatives à l’usage de la force, notamment en protégeant le droit à la vie des civils et en s’abstenant d’utiliser des bombes interdites au niveau international dans des attaques aveugles, car elles entraînent de nombreuses pertes civiles et des dommages importants aux biens civils.