Gaza - Saba :
Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux affaires humanitaires (HCDH) a confirmé hier samedi que la bande de Gaza connaît un état de « suffocation » en raison de la privation délibérée de la population des produits de première nécessité pour survivre.
Il a déclaré : L'interruption des approvisionnements vitaux a dépassé 50 jours, sans nourriture, carburant, fournitures médicales ou fournitures commerciales entrant dans la bande assiégée.
La Commission de l'ONU a ajouté dans un communiqué rapporté samedi par le journal Palestine que les habitants de Gaza ont été privés des nécessités de base pour survivre, expliquant que les hôpitaux et les centres de santé sont confrontés à une grave pénurie de fournitures médicales, tandis que les réserves d'eau diminuent de manière catastrophique et les réserves de nourriture sont presque épuisées.
Elle a souligné que les boulangeries ont été fermées en raison d'une pénurie de carburant et de matières premières, laissant les résidents sans sources sûres de pain, compte tenu du manque de carburant même pour la cuisine à domicile.
La déclaration décrit la situation à laquelle est confrontée la population de Gaza comme une « privation délibérée et intentionnelle », qui se manifeste par la destruction des infrastructures hydrauliques. Les rapports indiquent que 66 % des réservoirs d’eau et 33 % des usines de dessalement ont été détruits, tandis que les puits d’eau souterraine – la seule source d’eau – fonctionnent à moins de 20 % de leur capacité antérieure.
Elle a souligné que les boulangeries ont été obligées de fermer car il n'y avait pas de combustible pour cuisiner.
Les organisations humanitaires ont confirmé que les citoyens ne recevaient que 3 litres d’eau par jour, une quantité inférieure au minimum nécessaire à la survie.
L’ennemi sioniste a repris sa guerre contre la bande de Gaza le 18 mars, tuant et blessant des milliers de personnes. Il a également renforcé son siège en fermant les points de passage et en empêchant complètement l’entrée de l’aide humanitaire, alimentaire et médicale pendant plus de sept semaines.
Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux affaires humanitaires (HCDH) a confirmé hier samedi que la bande de Gaza connaît un état de « suffocation » en raison de la privation délibérée de la population des produits de première nécessité pour survivre.
Il a déclaré : L'interruption des approvisionnements vitaux a dépassé 50 jours, sans nourriture, carburant, fournitures médicales ou fournitures commerciales entrant dans la bande assiégée.
La Commission de l'ONU a ajouté dans un communiqué rapporté samedi par le journal Palestine que les habitants de Gaza ont été privés des nécessités de base pour survivre, expliquant que les hôpitaux et les centres de santé sont confrontés à une grave pénurie de fournitures médicales, tandis que les réserves d'eau diminuent de manière catastrophique et les réserves de nourriture sont presque épuisées.
Elle a souligné que les boulangeries ont été fermées en raison d'une pénurie de carburant et de matières premières, laissant les résidents sans sources sûres de pain, compte tenu du manque de carburant même pour la cuisine à domicile.
La déclaration décrit la situation à laquelle est confrontée la population de Gaza comme une « privation délibérée et intentionnelle », qui se manifeste par la destruction des infrastructures hydrauliques. Les rapports indiquent que 66 % des réservoirs d’eau et 33 % des usines de dessalement ont été détruits, tandis que les puits d’eau souterraine – la seule source d’eau – fonctionnent à moins de 20 % de leur capacité antérieure.
Elle a souligné que les boulangeries ont été obligées de fermer car il n'y avait pas de combustible pour cuisiner.
Les organisations humanitaires ont confirmé que les citoyens ne recevaient que 3 litres d’eau par jour, une quantité inférieure au minimum nécessaire à la survie.
L’ennemi sioniste a repris sa guerre contre la bande de Gaza le 18 mars, tuant et blessant des milliers de personnes. Il a également renforcé son siège en fermant les points de passage et en empêchant complètement l’entrée de l’aide humanitaire, alimentaire et médicale pendant plus de sept semaines.