Djeddah - Saba :
L'Organisation de la coopération islamique (OCI) a condamné hier dimanche avec la plus grande fermeté l'approbation par le soi-disant « gouvernement » sioniste de la séparation de 13 quartiers coloniaux illégaux en Cisjordanie, ouvrant ainsi la voie à leur « légalisation » en colonies de peuplement. Il s'agit d'une violation flagrante du droit international et des résolutions des Nations Unies (ONU).
L'Organisation de la coopération islamique a également mis en garde, dans un communiqué publié dimanche soir, contre le danger de créer une agence sioniste spéciale pour déplacer les Palestiniens sous couvert de « départ volontaire ».
Elle a réitéré son rejet absolu des plans visant à déplacer le peuple palestinien individuellement ou collectivement, à l’intérieur ou à l’extérieur de son territoire, ou à le déplacer de force ou à l’exiler, ce qui constitue une violation flagrante du droit international, du droit international humanitaire et des résolutions pertinentes des Nations Unies.
L'organisation a exhorté la communauté internationale, et en particulier le Conseil de sécurité, à assumer ses responsabilités face aux crimes sionistes, notamment le génocide, la colonisation, les démolitions de maisons, les déplacements forcés et les tentatives d'imposer la souveraineté sioniste sur les territoires palestiniens. Ces crimes nécessitent l'imposition de sanctions internationales dissuasives à l'ennemi, la puissance occupante.
L'Organisation de la coopération islamique (OCI) a condamné hier dimanche avec la plus grande fermeté l'approbation par le soi-disant « gouvernement » sioniste de la séparation de 13 quartiers coloniaux illégaux en Cisjordanie, ouvrant ainsi la voie à leur « légalisation » en colonies de peuplement. Il s'agit d'une violation flagrante du droit international et des résolutions des Nations Unies (ONU).
L'Organisation de la coopération islamique a également mis en garde, dans un communiqué publié dimanche soir, contre le danger de créer une agence sioniste spéciale pour déplacer les Palestiniens sous couvert de « départ volontaire ».
Elle a réitéré son rejet absolu des plans visant à déplacer le peuple palestinien individuellement ou collectivement, à l’intérieur ou à l’extérieur de son territoire, ou à le déplacer de force ou à l’exiler, ce qui constitue une violation flagrante du droit international, du droit international humanitaire et des résolutions pertinentes des Nations Unies.
L'organisation a exhorté la communauté internationale, et en particulier le Conseil de sécurité, à assumer ses responsabilités face aux crimes sionistes, notamment le génocide, la colonisation, les démolitions de maisons, les déplacements forcés et les tentatives d'imposer la souveraineté sioniste sur les territoires palestiniens. Ces crimes nécessitent l'imposition de sanctions internationales dissuasives à l'ennemi, la puissance occupante.