Johannesbourg - Saba :
Le ministre norvégien des Affaires étrangères Espen Barth Eide et le ministre espagnol des Affaires étrangères José Manuel Albares ont confirmé hier samedi le rejet par leur pays du plan du président américain Donald Trump visant à déplacer les Palestiniens de la bande de Gaza.
C'est ce qu'ils ont déclaré samedi, en marge de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G20 qui s'est tenue à Johannesburg, en Afrique du Sud.
Le ministre norvégien des Affaires étrangères a exprimé son inquiétude face à « certaines indications qui ont émergé concernant le déplacement de Palestiniens vers d'autres terres ».
Il a déclaré que cette mesure constitue une violation du droit international, soulignant la nécessité de contribuer à rendre la vie belle aux Palestiniens et à faire en sorte qu'ils obtiennent leur propre État indépendant, et la nécessité de reconstruire la bande de Gaza, qui a été détruite par l'armée "israélienne", tant sur le plan matériel que politique.
À son tour, le ministre espagnol des Affaires étrangères a souligné que Gaza est une terre palestinienne et que son pays les soutient, soulignant que ce peuple doit rester à Gaza.
Il a expliqué que son pays envoie de l'aide humanitaire à Gaza pour garantir que la vie des Palestiniens revienne à la normale le plus rapidement possible, et que cela fera partie du processus de reconstruction.
Le ministre norvégien des Affaires étrangères Espen Barth Eide et le ministre espagnol des Affaires étrangères José Manuel Albares ont confirmé hier samedi le rejet par leur pays du plan du président américain Donald Trump visant à déplacer les Palestiniens de la bande de Gaza.
C'est ce qu'ils ont déclaré samedi, en marge de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G20 qui s'est tenue à Johannesburg, en Afrique du Sud.
Le ministre norvégien des Affaires étrangères a exprimé son inquiétude face à « certaines indications qui ont émergé concernant le déplacement de Palestiniens vers d'autres terres ».
Il a déclaré que cette mesure constitue une violation du droit international, soulignant la nécessité de contribuer à rendre la vie belle aux Palestiniens et à faire en sorte qu'ils obtiennent leur propre État indépendant, et la nécessité de reconstruire la bande de Gaza, qui a été détruite par l'armée "israélienne", tant sur le plan matériel que politique.
À son tour, le ministre espagnol des Affaires étrangères a souligné que Gaza est une terre palestinienne et que son pays les soutient, soulignant que ce peuple doit rester à Gaza.
Il a expliqué que son pays envoie de l'aide humanitaire à Gaza pour garantir que la vie des Palestiniens revienne à la normale le plus rapidement possible, et que cela fera partie du processus de reconstruction.