SANAA Août 11. 2024 (Saba) – Le Premier ministre de l'entité sioniste, Benjamin Netanyahu, est revenu une fois de plus sur la stratégie de tergiversation, d'atermoiement et d'évasion après la déclaration tripartite américano-égyptienne-qatarie appelant les deux parties à revenir à la table des négociations en fixant de nouvelles conditions et exigences dans dans lequel il a rétracté ce que les médiateurs ont présenté comme un document sioniste, qui faisait partie du projet Biden et plus tard d'une résolution du Conseil de sécurité international.
Comme d'habitude, Netanyahu ne veut pas conclure d'accord, mais il manœuvre, esquive et fixe des conditions et des exigences pour contrecarrer toute démarche dans cette direction afin de gagner du temps, de prolonger l'agression contre la bande de Gaza et de mettre en œuvre des projets sionistes dans le Strip et la région, selon les analystes.
Il semble que la tentative de relance des négociations d'échange par l'administration du président américain Joe Biden entre le Hamas et l'entité sioniste est intervenue à ce moment précis comme une tentative de Washington de contenir l'escalade et les tensions dans la région après que l'ennemi sioniste a mené des négociations l'assassinat perfide du chef du bureau politique du Hamas, Ismail Haniyeh, à Téhéran et l'assassinat du commandant Fouad dans la banlieue sud de Beyrouth et l'agression sioniste contre le port de Hodeidah au Yémen, ainsi qu'en Iran, au Liban et au Yémen. a promis une réponse dure et douloureuse.
Cependant, Netanyahu a anticipé jeudi la date de l'envoi de la délégation de négociation sioniste au Caire ou à Doha avec un crime de guerre commis par sa bande sioniste, qui se présente comme une armée que les analystes militaires décrivent comme la plus sale du monde. il a commis un massacre contre des citoyens palestiniens déplacés sans défense dans l'école « Al-Tabaeen » du quartier d'Al-Daraj, qui abrite des personnes déplacées, et a coûté la vie à plus de 100 martyrs et blessé des centaines de personnes.
Les Palestiniens appellent la communauté internationale à mettre fin à cette folie et à cette brutalité inhumaine, car ce sont les citoyens qui paient le prix le plus douloureux de l'échec de la communauté internationale à forcer l'entité sioniste à respecter le droit international, y compris le droit humanitaire et droit des droits de l’homme.
Les Palestiniens exigent également la nécessité de mettre fin à la guerre brutale et à ces massacres, au génocide sioniste du peuple palestinien et aux crimes inhumains contre les détenus et les prisonniers dans les prisons d'occupation.
Le bureau de Netanyahu affirme que le Hamas empêche la conclusion d'un accord de cessez-le-feu et d'échange de prisonniers, et que l'entité sioniste n'a ajouté aucune condition aux grandes lignes de l'accord.
Cependant, Netanyahu ajoute de nouvelles conditions et exigences à chaque cycle de négociations. Netanyahu a mis en avant une nouvelle exigence visant à établir un mécanisme d'inspection de sécurité dans le centre de la bande de Gaza pour empêcher le passage des membres du Hamas dans le nord de la bande de Gaza. Les États-Unis garantissent qu’ils permettront à l’entité sioniste de reprendre les combats dans la bande de Gaza après la première phase de l’accord.
Dans le dernier document de réponse que l'entité sioniste a remis aux médiateurs, la question de l'empêchement du passage des militants était formulée de manière vague et ne mentionnait pas explicitement le mécanisme suite aux pressions américaines visant à empêcher l'échec des pourparlers. Netanyahu continue d’insister sur l’inclusion future du mécanisme dans les négociations.
Il existe une autre demande récemment formulée par Netanyahu qui n'était pas incluse dans le plan initial approuvé par le Conseil de guerre sioniste, à savoir l'engagement des États-Unis à permettre à l'entité sioniste de reprendre les combats dans la bande de Gaza après la première phase de l'accord. , si des négociations pour un règlement ont lieu.
Cela est pleinement prouvé par les paroles et les actes que Netanyahu et son gouvernement d'extrême droite ont fait le choix de continuer à tuer et à détruire toute manifestation de vie à Gaza, avec la complicité américaine et le soutien politique et matériel à ce comportement brutal et illégal de massacre de Palestiniens. civils.
L'Iran s'est engagé à répondre à l'assassinat de Haniyeh à Téhéran après sa participation à la cérémonie d'investiture du nouveau président iranien, Massoud Pezeshkian, et quelques heures après l'assassinat de l'un des dirigeants les plus éminents du Hezbollah, Fouad Shukr, lors d'un raid sur le territoire iranien. banlieue sud de Beyrouth.
Dans ce contexte, le président du Parlement iranien, Mohammad Baqir Qalibaf, a réitéré dimanche son accent sur « la vengeance du sang du chef du bureau politique du Hamas, Ismail Haniyeh, assassiné le 31 juillet dernier à Téhéran, et a déclaré qu'il s'agissait d'un devoir religieux et national ». .»
Qalibaf a expliqué que le « massacre de l’école Al-Tabaeen » dans la ville de Gaza a prouvé qu’« Israël » est une honte pour l’humanité entière et ne comprend que le langage de la force.
Le président du Parlement iranien a déclaré : « Conformément aux directives du guide suprême de la République islamique d'Iran, nous considérons que la vengeance de Haniyeh, martyrisé sur notre terre, est un devoir religieux et national. » Israël doit attendre le châtiment.
Qalibaf a exhorté les pays islamiques à prendre des mesures pratiques pour aider le peuple palestinien à arrêter la machine de guerre sioniste.
D'autre part, le ministre iranien des Affaires étrangères par intérim, Ali Bagheri Kani, a déclaré au ministre belge des Affaires étrangères : L'Iran répondra de manière légale et décisive à l'assassinat de Haniyeh.
Ali Shamkhani, conseiller du dirigeant iranien pour les affaires politiques, a déclaré hier samedi : Des mesures juridiques, diplomatiques et médiatiques ont été prises pour punir « Israël ».
Plus tôt dans la journée, le porte-parole du gouvernement allemand a déclaré : Le chancelier allemand Olaf Schulz a informé le Premier ministre sioniste Benjamin Netanyahu que le moment était venu de conclure un accord sur la libération des otages et un cessez-le-feu à Gaza.
Il convient de noter que Netanyahu s’efforce d’élargir la portée de la guerre à Gaza et ne veut pas d’un cessez-le-feu, et que son discours devant le Congrès américain a suscité une « grave déception » dans le monde et que son gouvernement a montré sa réticence à parvenir à un accord. cessez-le-feu à Gaza « à chaque étape ».
Depuis le 7 octobre dernier, l'armée ennemie sioniste poursuit son agression contre la bande de Gaza, avec le soutien américain et européen, tandis que ses avions bombardent les environs des hôpitaux, des bâtiments, des tours et des habitations civiles palestiniennes, les détruisant au-dessus des têtes des habitants. leurs habitants, et empêchant l’entrée de l’eau, de la nourriture, des médicaments et du carburant, ce qui a entraîné environ 40 000 martyrs et blessés. Plus de 91 000 Palestiniens et 90 pour cent de la population de la bande de Gaza ont été déplacés, selon les données des Nations Unies.
Sanaa - Saba : Abdulaziz Al-Hazzi
traduit par
A.A.A.
Comme d'habitude, Netanyahu ne veut pas conclure d'accord, mais il manœuvre, esquive et fixe des conditions et des exigences pour contrecarrer toute démarche dans cette direction afin de gagner du temps, de prolonger l'agression contre la bande de Gaza et de mettre en œuvre des projets sionistes dans le Strip et la région, selon les analystes.
Il semble que la tentative de relance des négociations d'échange par l'administration du président américain Joe Biden entre le Hamas et l'entité sioniste est intervenue à ce moment précis comme une tentative de Washington de contenir l'escalade et les tensions dans la région après que l'ennemi sioniste a mené des négociations l'assassinat perfide du chef du bureau politique du Hamas, Ismail Haniyeh, à Téhéran et l'assassinat du commandant Fouad dans la banlieue sud de Beyrouth et l'agression sioniste contre le port de Hodeidah au Yémen, ainsi qu'en Iran, au Liban et au Yémen. a promis une réponse dure et douloureuse.
Cependant, Netanyahu a anticipé jeudi la date de l'envoi de la délégation de négociation sioniste au Caire ou à Doha avec un crime de guerre commis par sa bande sioniste, qui se présente comme une armée que les analystes militaires décrivent comme la plus sale du monde. il a commis un massacre contre des citoyens palestiniens déplacés sans défense dans l'école « Al-Tabaeen » du quartier d'Al-Daraj, qui abrite des personnes déplacées, et a coûté la vie à plus de 100 martyrs et blessé des centaines de personnes.
Les Palestiniens appellent la communauté internationale à mettre fin à cette folie et à cette brutalité inhumaine, car ce sont les citoyens qui paient le prix le plus douloureux de l'échec de la communauté internationale à forcer l'entité sioniste à respecter le droit international, y compris le droit humanitaire et droit des droits de l’homme.
Les Palestiniens exigent également la nécessité de mettre fin à la guerre brutale et à ces massacres, au génocide sioniste du peuple palestinien et aux crimes inhumains contre les détenus et les prisonniers dans les prisons d'occupation.
Le bureau de Netanyahu affirme que le Hamas empêche la conclusion d'un accord de cessez-le-feu et d'échange de prisonniers, et que l'entité sioniste n'a ajouté aucune condition aux grandes lignes de l'accord.
Cependant, Netanyahu ajoute de nouvelles conditions et exigences à chaque cycle de négociations. Netanyahu a mis en avant une nouvelle exigence visant à établir un mécanisme d'inspection de sécurité dans le centre de la bande de Gaza pour empêcher le passage des membres du Hamas dans le nord de la bande de Gaza. Les États-Unis garantissent qu’ils permettront à l’entité sioniste de reprendre les combats dans la bande de Gaza après la première phase de l’accord.
Dans le dernier document de réponse que l'entité sioniste a remis aux médiateurs, la question de l'empêchement du passage des militants était formulée de manière vague et ne mentionnait pas explicitement le mécanisme suite aux pressions américaines visant à empêcher l'échec des pourparlers. Netanyahu continue d’insister sur l’inclusion future du mécanisme dans les négociations.
Il existe une autre demande récemment formulée par Netanyahu qui n'était pas incluse dans le plan initial approuvé par le Conseil de guerre sioniste, à savoir l'engagement des États-Unis à permettre à l'entité sioniste de reprendre les combats dans la bande de Gaza après la première phase de l'accord. , si des négociations pour un règlement ont lieu.
Cela est pleinement prouvé par les paroles et les actes que Netanyahu et son gouvernement d'extrême droite ont fait le choix de continuer à tuer et à détruire toute manifestation de vie à Gaza, avec la complicité américaine et le soutien politique et matériel à ce comportement brutal et illégal de massacre de Palestiniens. civils.
L'Iran s'est engagé à répondre à l'assassinat de Haniyeh à Téhéran après sa participation à la cérémonie d'investiture du nouveau président iranien, Massoud Pezeshkian, et quelques heures après l'assassinat de l'un des dirigeants les plus éminents du Hezbollah, Fouad Shukr, lors d'un raid sur le territoire iranien. banlieue sud de Beyrouth.
Dans ce contexte, le président du Parlement iranien, Mohammad Baqir Qalibaf, a réitéré dimanche son accent sur « la vengeance du sang du chef du bureau politique du Hamas, Ismail Haniyeh, assassiné le 31 juillet dernier à Téhéran, et a déclaré qu'il s'agissait d'un devoir religieux et national ». .»
Qalibaf a expliqué que le « massacre de l’école Al-Tabaeen » dans la ville de Gaza a prouvé qu’« Israël » est une honte pour l’humanité entière et ne comprend que le langage de la force.
Le président du Parlement iranien a déclaré : « Conformément aux directives du guide suprême de la République islamique d'Iran, nous considérons que la vengeance de Haniyeh, martyrisé sur notre terre, est un devoir religieux et national. » Israël doit attendre le châtiment.
Qalibaf a exhorté les pays islamiques à prendre des mesures pratiques pour aider le peuple palestinien à arrêter la machine de guerre sioniste.
D'autre part, le ministre iranien des Affaires étrangères par intérim, Ali Bagheri Kani, a déclaré au ministre belge des Affaires étrangères : L'Iran répondra de manière légale et décisive à l'assassinat de Haniyeh.
Ali Shamkhani, conseiller du dirigeant iranien pour les affaires politiques, a déclaré hier samedi : Des mesures juridiques, diplomatiques et médiatiques ont été prises pour punir « Israël ».
Plus tôt dans la journée, le porte-parole du gouvernement allemand a déclaré : Le chancelier allemand Olaf Schulz a informé le Premier ministre sioniste Benjamin Netanyahu que le moment était venu de conclure un accord sur la libération des otages et un cessez-le-feu à Gaza.
Il convient de noter que Netanyahu s’efforce d’élargir la portée de la guerre à Gaza et ne veut pas d’un cessez-le-feu, et que son discours devant le Congrès américain a suscité une « grave déception » dans le monde et que son gouvernement a montré sa réticence à parvenir à un accord. cessez-le-feu à Gaza « à chaque étape ».
Depuis le 7 octobre dernier, l'armée ennemie sioniste poursuit son agression contre la bande de Gaza, avec le soutien américain et européen, tandis que ses avions bombardent les environs des hôpitaux, des bâtiments, des tours et des habitations civiles palestiniennes, les détruisant au-dessus des têtes des habitants. leurs habitants, et empêchant l’entrée de l’eau, de la nourriture, des médicaments et du carburant, ce qui a entraîné environ 40 000 martyrs et blessés. Plus de 91 000 Palestiniens et 90 pour cent de la population de la bande de Gaza ont été déplacés, selon les données des Nations Unies.
Sanaa - Saba : Abdulaziz Al-Hazzi
traduit par
A.A.A.
resource : Saba
