SANAA Mai 31. 2024 (Saba) - L’entité ennemie sioniste tourne toujours le dos au monde et ignore le mouvement mondial en faveur de la Palestine, et ne se soucie pas des appels de la communauté internationale ni des décisions de la plus haute instance judiciaire des Nations Unies, la Cour internationale de Justice. , concernant son agression brutale en cours contre la bande de Gaza.
Quelques jours après la décision de la Cour internationale de Justice exigeant que cette entité cesse son opération militaire sur Rafah, les membres du Conseil de sécurité ont entamé des consultations sur un projet de résolution soumis par l'Algérie obligeant « Tel Aviv » à cesser son opération dans la ville située au sud de la bande de Gaza.
Selon les médias, le Conseil de sécurité de l'ONU votera aujourd'hui jeudi sur un projet de résolution algérienne visant à mettre fin à l'agression sioniste-américaine en cours contre Rafah, qui stipule que le Conseil de sécurité peut « décider qu'Israël, la puissance occupante, doit immédiatement cesser son attaque militaire. » Et tout autre travail à Rafah.
Le projet de résolution appelle à "un cessez-le-feu immédiat respecté par toutes les parties, à la libération immédiate et inconditionnelle de tous les otages, et exige également que les parties respectent leurs obligations en vertu du droit international à l'égard de toutes les personnes qu'elles détiennent".
La session d'aujourd'hui du Conseil de sécurité est considérée comme la première action du Conseil depuis l'attaque lancée par des avions ennemis sionistes contre des tentes de réfugiés à Rafah, et cette réunion sera suivie d'autres mesures que l'Algérie entend initier au niveau du Conseil de sécurité.
Il y a une semaine, la Cour internationale de Justice, la plus haute instance judiciaire des Nations Unies, a ordonné à l'entité ennemie sioniste, la puissance occupante, de cesser immédiatement ses opérations militaires et tout autre mouvement dans le gouvernorat de Rafah, et a souligné la nécessité de maintenir le ouverture du passage de Rafah, pour permettre l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza.
Le tribunal a également demandé, par mesures provisoires, que l'entité sioniste, conformément à ses obligations au titre de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, prenne des mesures concrètes pour garantir que tout comité d'enquête ou d'établissement des faits ait accès au Enquête des Nations Unies sur les accusations de génocide portées contre lui sans aucune entrave.
Malgré les condamnations de l'ONU et de la communauté internationale, l'ennemi sioniste poursuit son agression barbare contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre dernier, avec un nombre de martyrs atteignant 36 171, dont une majorité d'enfants et de femmes, et le nombre de 81 420 blessés, tandis que des milliers de victimes sont toujours sous les décombres, attendant d'être récupérées. Le monde agit sérieusement pour obliger l'entité usurpatrice à mettre fin à la guerre de génocide.
De son côté, après quelques jours, l'Afrique du Sud appliquera la décision de la Cour de Justice, compte tenu de la poursuite des massacres sionistes à Rafah, alors que l'ennemi sioniste craint d'être inscrit sur la liste des Nations Unies des pays accusés d'avoir tué. enfants.
Les pressions diplomatiques que le Premier ministre de l'entité occupante, Benjamin Netanyahu, menace de surmonter, interviennent dans le contexte de son classement parmi les dirigeants internationaux exclus, après que le procureur général de la Cour pénale internationale a demandé l'émission d'un mandat d'arrêt contre lui. soupçonné d'avoir commis des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité pendant la guerre sioniste contre Gaza.
Cette étape ajoute à de nombreux fardeaux supportés par les alliés de l’entité sioniste, dirigés par l’Amérique, tandis que l’Allemagne, par exemple, a été contrainte de justifier ses ventes d’armes à l’entité occupante face aux accusations de facilitation du génocide portées par le Nicaragua.
D’un autre côté, le gouvernement ennemi sioniste continue de faire face à tout cela avec davantage de massacres contre les Palestiniens, ignorant toutes les décisions de l’ONU et des organismes internationaux, et sans le moindre égard pour l’opinion publique internationale et populaire.
Au 237e jour de la guerre sioniste dans la bande de Gaza, l'ennemi a poursuivi ses massacres dans plusieurs zones et intensifié ses raids sur Rafah, coïncidant avec l'escalade de sa campagne de raids sur plusieurs villes de Cisjordanie occupée, dont Naplouse, Tulkarm, Hébron et Ramallah, et a confirmé la mort de deux soldats lors de l'opération d'écrasement au point de contrôle d'Awarta, à l'est de Naplouse.
En retour, les Brigades Al-Qassam et Al-Quds ont annoncé avoir pris pour cible des véhicules sionistes et bombardé une force à pied, tuant et blessant ses soldats, dans plusieurs zones de Rafah, au sud de la bande de Gaza.
Les médias sionistes et étrangers rapportent que les ministres du gouvernement de Netanyahu se sont moqués et ont dénigré les pays qui appelaient aux droits des Palestiniens, ce qui renforce la croyance dominante selon laquelle le gouvernement de Netanyahu suit une approche sans restriction lorsqu'il traite avec les critiques de cette entité, comme cela a été clairement démontré dans le rapport. les actions du représentant de l'entité occupante au Conseil de sécurité ou les déclarations de son ministre des Affaires étrangères.
Dans ce contexte, le chercheur palestinien du Centre Mada al-Carmel, Mtanes Shehadeh, a déclaré dans une interview à Al-Arabi que les transformations politiques et ce qui se passe dans la communauté internationale affectent grandement l'entité sioniste et son statut, mais cette entité est arrogant et nie ce qui se passe sur la scène internationale, et utilise une stratégie : poursuivre la guerre d'anéantissement contre Gaza et s'appuyer sur le soutien américain.
Pour sa part, le directeur du Centre arabe de recherche et d'études politiques, Khalil Jahshan, a déclaré dans une interview accordée à Al-Arabi depuis Washington que l'arène diplomatique ne peut pas être laissée à l'entité sioniste pour nier toutes les responsabilités qui lui incombent et à celles du épaules des partis qui le soutiennent, Washington en tête... soulignant que l'ensemble du mouvement diplomatique s'inscrit dans le cadre des efforts diplomatiques internationaux, et pas seulement arabes, pour mettre fin à l'agression sioniste.
Il est à noter que l'ennemi sioniste s'empresse à chaque fois de répondre à toute position ou décision de la communauté internationale en commettant un acte contraire à lui sur le terrain, comme cela s'est produit après les ordres de la Cour internationale de Justice, d'arrêter immédiatement le terrain. l'attaque contre Rafah, et la nécessité de maintenir l'ouverture du passage de Rafah, pour permettre l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande.
La réponse sioniste aux ordres de la justice internationale ne s'est pas fait attendre, même s'ils étaient définitifs et sans appel. Quelques jours plus tard, les forces ennemies sionistes ont commis deux massacres contre les camps de déplacés à Rafah, qui ont entraîné le martyre de 72 personnes. citoyens, dont la majorité étaient des femmes et des enfants, et des centaines de blessés.
Contrairement à ce que demande la communauté internationale, et confirmé par la Cour internationale de Justice, les forces ennemies sionistes continuent de contrôler le côté palestinien du passage de Rafah, de fermer le passage commercial de Kerem Shalom et d'empêcher l'entrée de l'aide humanitaire, ou la sortie. des malades et des blessés à recevoir des soins.
La rapporteuse de l'ONU, Francesca Albanese, a déclaré : Le génocide à Gaza ne prendra pas fin sans pression extérieure, et des sanctions doivent être imposées à l'entité sioniste et les investissements, accords, échanges commerciaux et partenariats avec elle doivent être suspendus... soulignant que « cette cruauté, en plus au défi flagrant du droit et de l’ordre international, est inacceptable.
Le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a également souligné que les décisions de la Cour internationale de Justice sont contraignantes et que tous les membres doivent les respecter, et a réitéré son exigence d'un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Gaza. l'entité sioniste, la puissance occupante, pour garantir que l'aide humanitaire arrive dans la bande de Gaza sans obstacles et en toute sécurité.
Dans le même contexte, et malgré la décision de la Cour internationale de Justice, depuis le 7 mai, les forces ennemies continuent de fermer le poste frontière de Rafah, après avoir occupé la partie palestinienne de celui-ci, et empêchent le flux de l'aide humanitaire et la sortie des blessés, des malades et des cas humanitaires à travers lui.
La persistance de l'entité sioniste barbare dans ses crimes confirme une fois de plus que lancer des appels, exprimer des espoirs, exprimer des préoccupations et des avertissements internationaux sont insuffisants et ne sont pas à la hauteur des souffrances d'un peuple qui souffre sous occupation depuis 76 ans. ans, et ne peut arrêter la barbarie de cet occupant et sa soif de meurtre et de destruction.
Les décisions largement saluées de la Norvège, de l’Irlande et de l’Espagne de reconnaître la Palestine en tant qu’État montrent que de plus en plus de pays défendent désormais la justice sur cette question, laissant l’Amérique de plus en plus isolée.
Malgré les progrès réalisés, le chemin vers la création d'un État palestinien indépendant est semé d'obstacles érigés par l'Amérique. Le gouvernement américain a réagi mercredi aux décisions de la Norvège, de l'Irlande et de l'Espagne en déclarant : L'État palestinien ne doit pas être réalisé par une « reconnaissance unilatérale ». » Malgré sa prétention de soutenir la solution à deux États, Washington, comme toujours, agit en fait de manière fourbe.
En ignorant le juste appel de la communauté internationale, nous voyons Washington parler de la nécessité d'un cessez-le-feu tout en fournissant des armes à l'entité sioniste, et parler de l'aide humanitaire tout en dressant des obstacles à son arrivée, dans un comportement honteux qui révèle l'étendue de son action. hypocrisie.
Les observateurs estiment que l'échec de la communauté internationale, menée par les États-Unis, à prendre des mesures dissuasives contre l'entité raciste et à ignorer la mise en œuvre des décisions de la Cour internationale de Justice, est un feu vert pour que cette entité commette davantage de meurtres et de meurtres. destructions dans la ville de Rafah, considérée comme le dernier refuge de centaines de milliers de personnes déplacées.
Les observateurs confirment que l'administration américaine porte l'entière responsabilité de ce qui se passe à Rafah et dans toute la bande de Gaza par l'entité ennemie sioniste, en particulier dans la soi-disant création de la zone tampon, les tentatives de déplacement de citoyens et la transformation de la bande de Gaza. dans une zone invivable et son refus de se soumettre aux décisions des tribunaux internationaux, dont la dernière en date est une décision de justice internationale.
Les observateurs soulignent la nécessité pour la communauté internationale et les institutions internationales efficaces de prendre des mesures pratiques et d'agir sérieusement, concrètement et efficacement pour forcer l'entité ennemie à se conformer aux décisions de la Cour internationale de Justice et à ne pas se contenter de déclarations et d'enregistrements de positions sinon, tout retard entraînera davantage de meurtres et de sang et la communauté internationale devra assumer ses responsabilités juridiques, politiques et morales en exerçant la pression nécessaire sur l’entité occupante afin de se conformer à ces normes, lois, accords et résolutions internationaux.
Il convient de mentionner que la région du Moyen-Orient traverse aujourd'hui des circonstances exceptionnelles, difficiles et sans précédent, en raison des meurtres, des déplacements et des violations graves et brutales perpétrées par les forces ennemies sionistes contre le peuple palestinien dans les territoires palestiniens, alors qu'elles commettre de nouveaux massacres dans la ville de Rafah et œuvrer au déplacement du peuple palestinien et à la réoccupation de la bande de Gaza dans son intégralité, pour mettre en œuvre des plans visant à liquider la question palestinienne à la lumière du soutien américain sans précédent à l'entité occupante pour poursuivre sa politique crime, compte tenu de l’absence et du manque de mise en œuvre immédiate de la décision de la Cour internationale de Justice.
Sanaa - Saba : Merzah Al-Asal
traduit par
A.A.A.
Quelques jours après la décision de la Cour internationale de Justice exigeant que cette entité cesse son opération militaire sur Rafah, les membres du Conseil de sécurité ont entamé des consultations sur un projet de résolution soumis par l'Algérie obligeant « Tel Aviv » à cesser son opération dans la ville située au sud de la bande de Gaza.
Selon les médias, le Conseil de sécurité de l'ONU votera aujourd'hui jeudi sur un projet de résolution algérienne visant à mettre fin à l'agression sioniste-américaine en cours contre Rafah, qui stipule que le Conseil de sécurité peut « décider qu'Israël, la puissance occupante, doit immédiatement cesser son attaque militaire. » Et tout autre travail à Rafah.
Le projet de résolution appelle à "un cessez-le-feu immédiat respecté par toutes les parties, à la libération immédiate et inconditionnelle de tous les otages, et exige également que les parties respectent leurs obligations en vertu du droit international à l'égard de toutes les personnes qu'elles détiennent".
La session d'aujourd'hui du Conseil de sécurité est considérée comme la première action du Conseil depuis l'attaque lancée par des avions ennemis sionistes contre des tentes de réfugiés à Rafah, et cette réunion sera suivie d'autres mesures que l'Algérie entend initier au niveau du Conseil de sécurité.
Il y a une semaine, la Cour internationale de Justice, la plus haute instance judiciaire des Nations Unies, a ordonné à l'entité ennemie sioniste, la puissance occupante, de cesser immédiatement ses opérations militaires et tout autre mouvement dans le gouvernorat de Rafah, et a souligné la nécessité de maintenir le ouverture du passage de Rafah, pour permettre l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza.
Le tribunal a également demandé, par mesures provisoires, que l'entité sioniste, conformément à ses obligations au titre de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, prenne des mesures concrètes pour garantir que tout comité d'enquête ou d'établissement des faits ait accès au Enquête des Nations Unies sur les accusations de génocide portées contre lui sans aucune entrave.
Malgré les condamnations de l'ONU et de la communauté internationale, l'ennemi sioniste poursuit son agression barbare contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre dernier, avec un nombre de martyrs atteignant 36 171, dont une majorité d'enfants et de femmes, et le nombre de 81 420 blessés, tandis que des milliers de victimes sont toujours sous les décombres, attendant d'être récupérées. Le monde agit sérieusement pour obliger l'entité usurpatrice à mettre fin à la guerre de génocide.
De son côté, après quelques jours, l'Afrique du Sud appliquera la décision de la Cour de Justice, compte tenu de la poursuite des massacres sionistes à Rafah, alors que l'ennemi sioniste craint d'être inscrit sur la liste des Nations Unies des pays accusés d'avoir tué. enfants.
Les pressions diplomatiques que le Premier ministre de l'entité occupante, Benjamin Netanyahu, menace de surmonter, interviennent dans le contexte de son classement parmi les dirigeants internationaux exclus, après que le procureur général de la Cour pénale internationale a demandé l'émission d'un mandat d'arrêt contre lui. soupçonné d'avoir commis des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité pendant la guerre sioniste contre Gaza.
Cette étape ajoute à de nombreux fardeaux supportés par les alliés de l’entité sioniste, dirigés par l’Amérique, tandis que l’Allemagne, par exemple, a été contrainte de justifier ses ventes d’armes à l’entité occupante face aux accusations de facilitation du génocide portées par le Nicaragua.
D’un autre côté, le gouvernement ennemi sioniste continue de faire face à tout cela avec davantage de massacres contre les Palestiniens, ignorant toutes les décisions de l’ONU et des organismes internationaux, et sans le moindre égard pour l’opinion publique internationale et populaire.
Au 237e jour de la guerre sioniste dans la bande de Gaza, l'ennemi a poursuivi ses massacres dans plusieurs zones et intensifié ses raids sur Rafah, coïncidant avec l'escalade de sa campagne de raids sur plusieurs villes de Cisjordanie occupée, dont Naplouse, Tulkarm, Hébron et Ramallah, et a confirmé la mort de deux soldats lors de l'opération d'écrasement au point de contrôle d'Awarta, à l'est de Naplouse.
En retour, les Brigades Al-Qassam et Al-Quds ont annoncé avoir pris pour cible des véhicules sionistes et bombardé une force à pied, tuant et blessant ses soldats, dans plusieurs zones de Rafah, au sud de la bande de Gaza.
Les médias sionistes et étrangers rapportent que les ministres du gouvernement de Netanyahu se sont moqués et ont dénigré les pays qui appelaient aux droits des Palestiniens, ce qui renforce la croyance dominante selon laquelle le gouvernement de Netanyahu suit une approche sans restriction lorsqu'il traite avec les critiques de cette entité, comme cela a été clairement démontré dans le rapport. les actions du représentant de l'entité occupante au Conseil de sécurité ou les déclarations de son ministre des Affaires étrangères.
Dans ce contexte, le chercheur palestinien du Centre Mada al-Carmel, Mtanes Shehadeh, a déclaré dans une interview à Al-Arabi que les transformations politiques et ce qui se passe dans la communauté internationale affectent grandement l'entité sioniste et son statut, mais cette entité est arrogant et nie ce qui se passe sur la scène internationale, et utilise une stratégie : poursuivre la guerre d'anéantissement contre Gaza et s'appuyer sur le soutien américain.
Pour sa part, le directeur du Centre arabe de recherche et d'études politiques, Khalil Jahshan, a déclaré dans une interview accordée à Al-Arabi depuis Washington que l'arène diplomatique ne peut pas être laissée à l'entité sioniste pour nier toutes les responsabilités qui lui incombent et à celles du épaules des partis qui le soutiennent, Washington en tête... soulignant que l'ensemble du mouvement diplomatique s'inscrit dans le cadre des efforts diplomatiques internationaux, et pas seulement arabes, pour mettre fin à l'agression sioniste.
Il est à noter que l'ennemi sioniste s'empresse à chaque fois de répondre à toute position ou décision de la communauté internationale en commettant un acte contraire à lui sur le terrain, comme cela s'est produit après les ordres de la Cour internationale de Justice, d'arrêter immédiatement le terrain. l'attaque contre Rafah, et la nécessité de maintenir l'ouverture du passage de Rafah, pour permettre l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande.
La réponse sioniste aux ordres de la justice internationale ne s'est pas fait attendre, même s'ils étaient définitifs et sans appel. Quelques jours plus tard, les forces ennemies sionistes ont commis deux massacres contre les camps de déplacés à Rafah, qui ont entraîné le martyre de 72 personnes. citoyens, dont la majorité étaient des femmes et des enfants, et des centaines de blessés.
Contrairement à ce que demande la communauté internationale, et confirmé par la Cour internationale de Justice, les forces ennemies sionistes continuent de contrôler le côté palestinien du passage de Rafah, de fermer le passage commercial de Kerem Shalom et d'empêcher l'entrée de l'aide humanitaire, ou la sortie. des malades et des blessés à recevoir des soins.
La rapporteuse de l'ONU, Francesca Albanese, a déclaré : Le génocide à Gaza ne prendra pas fin sans pression extérieure, et des sanctions doivent être imposées à l'entité sioniste et les investissements, accords, échanges commerciaux et partenariats avec elle doivent être suspendus... soulignant que « cette cruauté, en plus au défi flagrant du droit et de l’ordre international, est inacceptable.
Le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a également souligné que les décisions de la Cour internationale de Justice sont contraignantes et que tous les membres doivent les respecter, et a réitéré son exigence d'un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Gaza. l'entité sioniste, la puissance occupante, pour garantir que l'aide humanitaire arrive dans la bande de Gaza sans obstacles et en toute sécurité.
Dans le même contexte, et malgré la décision de la Cour internationale de Justice, depuis le 7 mai, les forces ennemies continuent de fermer le poste frontière de Rafah, après avoir occupé la partie palestinienne de celui-ci, et empêchent le flux de l'aide humanitaire et la sortie des blessés, des malades et des cas humanitaires à travers lui.
La persistance de l'entité sioniste barbare dans ses crimes confirme une fois de plus que lancer des appels, exprimer des espoirs, exprimer des préoccupations et des avertissements internationaux sont insuffisants et ne sont pas à la hauteur des souffrances d'un peuple qui souffre sous occupation depuis 76 ans. ans, et ne peut arrêter la barbarie de cet occupant et sa soif de meurtre et de destruction.
Les décisions largement saluées de la Norvège, de l’Irlande et de l’Espagne de reconnaître la Palestine en tant qu’État montrent que de plus en plus de pays défendent désormais la justice sur cette question, laissant l’Amérique de plus en plus isolée.
Malgré les progrès réalisés, le chemin vers la création d'un État palestinien indépendant est semé d'obstacles érigés par l'Amérique. Le gouvernement américain a réagi mercredi aux décisions de la Norvège, de l'Irlande et de l'Espagne en déclarant : L'État palestinien ne doit pas être réalisé par une « reconnaissance unilatérale ». » Malgré sa prétention de soutenir la solution à deux États, Washington, comme toujours, agit en fait de manière fourbe.
En ignorant le juste appel de la communauté internationale, nous voyons Washington parler de la nécessité d'un cessez-le-feu tout en fournissant des armes à l'entité sioniste, et parler de l'aide humanitaire tout en dressant des obstacles à son arrivée, dans un comportement honteux qui révèle l'étendue de son action. hypocrisie.
Les observateurs estiment que l'échec de la communauté internationale, menée par les États-Unis, à prendre des mesures dissuasives contre l'entité raciste et à ignorer la mise en œuvre des décisions de la Cour internationale de Justice, est un feu vert pour que cette entité commette davantage de meurtres et de meurtres. destructions dans la ville de Rafah, considérée comme le dernier refuge de centaines de milliers de personnes déplacées.
Les observateurs confirment que l'administration américaine porte l'entière responsabilité de ce qui se passe à Rafah et dans toute la bande de Gaza par l'entité ennemie sioniste, en particulier dans la soi-disant création de la zone tampon, les tentatives de déplacement de citoyens et la transformation de la bande de Gaza. dans une zone invivable et son refus de se soumettre aux décisions des tribunaux internationaux, dont la dernière en date est une décision de justice internationale.
Les observateurs soulignent la nécessité pour la communauté internationale et les institutions internationales efficaces de prendre des mesures pratiques et d'agir sérieusement, concrètement et efficacement pour forcer l'entité ennemie à se conformer aux décisions de la Cour internationale de Justice et à ne pas se contenter de déclarations et d'enregistrements de positions sinon, tout retard entraînera davantage de meurtres et de sang et la communauté internationale devra assumer ses responsabilités juridiques, politiques et morales en exerçant la pression nécessaire sur l’entité occupante afin de se conformer à ces normes, lois, accords et résolutions internationaux.
Il convient de mentionner que la région du Moyen-Orient traverse aujourd'hui des circonstances exceptionnelles, difficiles et sans précédent, en raison des meurtres, des déplacements et des violations graves et brutales perpétrées par les forces ennemies sionistes contre le peuple palestinien dans les territoires palestiniens, alors qu'elles commettre de nouveaux massacres dans la ville de Rafah et œuvrer au déplacement du peuple palestinien et à la réoccupation de la bande de Gaza dans son intégralité, pour mettre en œuvre des plans visant à liquider la question palestinienne à la lumière du soutien américain sans précédent à l'entité occupante pour poursuivre sa politique crime, compte tenu de l’absence et du manque de mise en œuvre immédiate de la décision de la Cour internationale de Justice.
Sanaa - Saba : Merzah Al-Asal
traduit par
A.A.A.
resource : Saba
