SANAA Février 03.2024 (Saba) - Il est certain que la position du président américain Joe Biden et de son administration en faveur d'un soutien absolu à l'entité ennemie sioniste, ainsi que son parti pris total en faveur de l'entité usurpatrice dans son agression en cours contre la bande de Gaza, nuisent aux intérêts de son pays au Moyen-Orient. Région Est.
Ce soutien aveugle de Washington intervient au moment où Washington cherche à rétablir l’équilibre des influences qui penchait fortement en faveur de la Chine et de la Russie dans la région au cours des dernières années.
La position de l'administration Biden sur l'agression sioniste en cours contre Gaza depuis le 7 octobre dernier est soumise à l'étude et à l'évaluation de toutes les parties à travers le monde, tandis que l'armée ennemie sioniste, avec le soutien absolu des États-Unis et de l'Occident, mène une campagne de violence barbare continue, bombardements sur la bande de Gaza depuis le début de l'opération « Déluge d'Al-Aqsa », menée par le mouvement de résistance islamique « Hamas ».
Sans aucun doute, le soutien continu de Washington et de ses alliés occidentaux concernant ce qu’ils décrivent comme (le droit d’Israël à se défendre) et la prise de mesures appropriées contre toute menace, et démontrant le profond engagement de l’Amérique envers son petit allié, « l’entité ennemie sioniste », y compris le soutien financier, l’aide militaire et sécuritaire, et la mobilisation… Le soutien mondial à l’agression sioniste en cours contre Gaza met en danger les intérêts de sécurité nationale des États-Unis dans la région.
Washington est conscient que le 7 octobre représente un moment charnière pour sa politique au Moyen-Orient et ses relations avec ses alliés dans la région. Malgré les défis stratégiques auxquels l'Amérique est confrontée dans plus d'une région du monde et sa confrontation avec la Chine et la Russie, Le Moyen-Orient nécessitera l'attention et la concentration continues de Washington, qui s'efforcera de renforcer ses mouvements dans la région, après que le Moyen-Orient ait semblé loin des priorités de l'administration Biden.
Bien que Washington ignore ses intérêts menacés au Moyen-Orient, il s’efforce avant tout d’assurer son ferme soutien et celui de ses alliés occidentaux à l’entité ennemie sioniste dans ce qu’ils appellent (son droit à se défendre).
Dans ce contexte, depuis le début de l'agression le 8 octobre dernier, l'Amérique a apporté un soutien considérable à l'entité sioniste ennemie en continuant d'affirmer son rejet de toute tentative de cessez-le-feu, malgré le grand nombre de martyrs civils, notamment d'enfants. et des femmes, et la détérioration des conditions humanitaires dans la bande de Gaza, en raison du ciblage des hôpitaux, de la campagne de famine et des punitions collectives.
Washington a également sapé les efforts internationaux visant à freiner le recours à la force brutale par l'entité sioniste à Gaza, notamment en votant contre une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU appelant à une « trêve humanitaire » pour acheminer l'aide.
Washington insiste sur l'absence de cessez-le-feu pour garantir que l'entité sioniste ennemie mette fin à son agression à moins qu'elle ne parvienne à éliminer dans une large mesure les capacités offensives du Hamas. En d'autres termes, l'entité sioniste sortira de la guerre avec le dessus, garantissant que le La réalité de l’après-guerre est radicalement différente de celle qui l’a précédée.
Washington démontre son profond engagement envers son allié sioniste, en lui fournissant une aide directe pour renforcer ses capacités à atteindre ses objectifs dans l'agression contre la bande de Gaza, tout en continuant à reconstituer le stock militaire sioniste et en veillant à ce qu'il ne manque pas d'équipements vitaux. pour atteindre ses objectifs militaires, notamment des missiles intercepteurs pour le système « Iron Dome » et des bombes guidées, ainsi que l'envoi de forces spéciales américaines pour conseiller les forces sionistes lors de la préparation des opérations terrestres.
Washington a également mobilisé le soutien international en faveur de l'entité ennemie sioniste, et l'image la plus claire des efforts américains pour atteindre cet objectif apparaît dans la déclaration conjointe publiée par les présidents des États-Unis et de la France, la chancelière allemande et les premiers ministres britannique et italien. , qui comprenait un engagement explicite à garantir que l’entité ennemie sioniste obtienne les moyens nécessaires pour se défendre.
L'administration américaine, qui a fixé un ensemble de considérations à respecter dans le contexte de son soutien aveugle à l'entité ennemie sioniste dans son agression contre la bande de Gaza, cherche à contenir le conflit et à l'empêcher de se transformer en une vaste guerre régionale qui pourrait conduire à une implication directe des forces américaines dans les combats.
Mais il semble qu’avec l’expansion de l’agression barbare américaine contre le Yémen, l’Irak et la Syrie, cette agression insensée pourrait déclencher un conflit dans la région et aurait des conséquences désastreuses pour Washington et ses intérêts, et ce serait le plus grand perdant de ce conflit.
Sanaa - Saba : Abdul Aziz Al-Hazi
traduit par
A.A.A.
Ce soutien aveugle de Washington intervient au moment où Washington cherche à rétablir l’équilibre des influences qui penchait fortement en faveur de la Chine et de la Russie dans la région au cours des dernières années.
La position de l'administration Biden sur l'agression sioniste en cours contre Gaza depuis le 7 octobre dernier est soumise à l'étude et à l'évaluation de toutes les parties à travers le monde, tandis que l'armée ennemie sioniste, avec le soutien absolu des États-Unis et de l'Occident, mène une campagne de violence barbare continue, bombardements sur la bande de Gaza depuis le début de l'opération « Déluge d'Al-Aqsa », menée par le mouvement de résistance islamique « Hamas ».
Sans aucun doute, le soutien continu de Washington et de ses alliés occidentaux concernant ce qu’ils décrivent comme (le droit d’Israël à se défendre) et la prise de mesures appropriées contre toute menace, et démontrant le profond engagement de l’Amérique envers son petit allié, « l’entité ennemie sioniste », y compris le soutien financier, l’aide militaire et sécuritaire, et la mobilisation… Le soutien mondial à l’agression sioniste en cours contre Gaza met en danger les intérêts de sécurité nationale des États-Unis dans la région.
Washington est conscient que le 7 octobre représente un moment charnière pour sa politique au Moyen-Orient et ses relations avec ses alliés dans la région. Malgré les défis stratégiques auxquels l'Amérique est confrontée dans plus d'une région du monde et sa confrontation avec la Chine et la Russie, Le Moyen-Orient nécessitera l'attention et la concentration continues de Washington, qui s'efforcera de renforcer ses mouvements dans la région, après que le Moyen-Orient ait semblé loin des priorités de l'administration Biden.
Bien que Washington ignore ses intérêts menacés au Moyen-Orient, il s’efforce avant tout d’assurer son ferme soutien et celui de ses alliés occidentaux à l’entité ennemie sioniste dans ce qu’ils appellent (son droit à se défendre).
Dans ce contexte, depuis le début de l'agression le 8 octobre dernier, l'Amérique a apporté un soutien considérable à l'entité sioniste ennemie en continuant d'affirmer son rejet de toute tentative de cessez-le-feu, malgré le grand nombre de martyrs civils, notamment d'enfants. et des femmes, et la détérioration des conditions humanitaires dans la bande de Gaza, en raison du ciblage des hôpitaux, de la campagne de famine et des punitions collectives.
Washington a également sapé les efforts internationaux visant à freiner le recours à la force brutale par l'entité sioniste à Gaza, notamment en votant contre une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU appelant à une « trêve humanitaire » pour acheminer l'aide.
Washington insiste sur l'absence de cessez-le-feu pour garantir que l'entité sioniste ennemie mette fin à son agression à moins qu'elle ne parvienne à éliminer dans une large mesure les capacités offensives du Hamas. En d'autres termes, l'entité sioniste sortira de la guerre avec le dessus, garantissant que le La réalité de l’après-guerre est radicalement différente de celle qui l’a précédée.
Washington démontre son profond engagement envers son allié sioniste, en lui fournissant une aide directe pour renforcer ses capacités à atteindre ses objectifs dans l'agression contre la bande de Gaza, tout en continuant à reconstituer le stock militaire sioniste et en veillant à ce qu'il ne manque pas d'équipements vitaux. pour atteindre ses objectifs militaires, notamment des missiles intercepteurs pour le système « Iron Dome » et des bombes guidées, ainsi que l'envoi de forces spéciales américaines pour conseiller les forces sionistes lors de la préparation des opérations terrestres.
Washington a également mobilisé le soutien international en faveur de l'entité ennemie sioniste, et l'image la plus claire des efforts américains pour atteindre cet objectif apparaît dans la déclaration conjointe publiée par les présidents des États-Unis et de la France, la chancelière allemande et les premiers ministres britannique et italien. , qui comprenait un engagement explicite à garantir que l’entité ennemie sioniste obtienne les moyens nécessaires pour se défendre.
L'administration américaine, qui a fixé un ensemble de considérations à respecter dans le contexte de son soutien aveugle à l'entité ennemie sioniste dans son agression contre la bande de Gaza, cherche à contenir le conflit et à l'empêcher de se transformer en une vaste guerre régionale qui pourrait conduire à une implication directe des forces américaines dans les combats.
Mais il semble qu’avec l’expansion de l’agression barbare américaine contre le Yémen, l’Irak et la Syrie, cette agression insensée pourrait déclencher un conflit dans la région et aurait des conséquences désastreuses pour Washington et ses intérêts, et ce serait le plus grand perdant de ce conflit.
Sanaa - Saba : Abdul Aziz Al-Hazi
traduit par
A.A.A.