SANAA Août 20. 2023 (Saba) – Le monde se dirige vers une troisième guerre mondiale nucléaire déclenchée et alimentée par les États-Unis d'Amérique, qui ont un désir latent d'étendre le cercle du conflit de la Russie et de l'Ukraine à l'Europe occidentale et son extension au reste du monde sur ses six continents, selon des experts militaires et des spécialistes des relations internationales.
Les experts estiment que les grands pays du monde n'ont jamais exclu de leurs plans le déclenchement d'une troisième guerre mondiale, et l'expérience de la guerre froide leur a donné la meilleure preuve que les camps de l'Est et de l'Ouest faisaient la guerre et comment la gérer à au premier rang des priorités. Missiles à Cuba, Baie des Cochons, etc.).
L'expert militaire, le Dr Firas Shaboul, a déclaré dans une interview à l'agence russe "Spoutnik" qu'"il semble qu'il y avait des objectifs politiques cachés dirigés par les États-Unis en élargissant la portée de la guerre de la Russie et de l'Ukraine à l'Europe occidentale et en allumant la mèche". de guerre pour atteindre la scène de la Troisième Guerre mondiale ... et cela s'est transformé Le conflit s'est transformé en une guerre semi-ouverte entre la Russie d'une part et l'Ukraine et l'Occident, dirigés par les États-Unis, d'autre part.
Quant au monde d'aujourd'hui, les experts disent : "Il y a des aventuriers et peut-être chargés de pousser au bord d'une troisième guerre nucléaire qui ramènera l'humanité sur la planète Terre aux premiers débuts de l'humanité et de la civilisation."
Henry Kissinger, l'ancien conseiller à la sécurité nationale et homme d'État américain âgé de 95 ans, a récemment déclaré au Financial Times que "nous sommes dans une période très, très dangereuse pour le monde" et a comparé l'ère actuelle au début de la Seconde Guerre mondiale.
Kissinger dit : Les signes avant-coureurs de la Troisième Guerre mondiale sont apparus à l'horizon, et ses deux parties sont les États-Unis d'une part, et la Chine, la Russie, la Corée du Nord et d'autre part les États-Unis de son point de vue.
En effet... les chefs des grands pays ne travaillent pas selon la jurisprudence des priorités et de ce qu'il faut aligner pour résoudre la crise ukrainienne, et la guerre ne s'arrête pas à l'usage des armes, c'est plutôt une guerre psychologique menée par Joe Biden, président des États-Unis, en contrariant le monde et en l'intimidant face à la menace de l'ours russe d'utiliser le « nucléaire » dans son opération militaire privée en Ukraine.
L'un des principaux conseillers du président américain Joe Biden a récemment averti que les conséquences seraient "catastrophiques" si le président russe Vladimir Poutine mettait à exécution sa menace d'utiliser des armes nucléaires dans la guerre contre l'Ukraine.
Le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Jake Sullivan, a déclaré à NBC : Les États-Unis ont l'intention de faire clairement comprendre à la Russie "quelles seront les conséquences si elle emprunte la voie sombre de l'utilisation de l'arme nucléaire", soulignant que ces conséquences "seront catastrophiques". .
Il a ajouté : "Nous avons la capacité de parler directement à un haut niveau avec les Russes pour leur dire clairement quel est notre message et écouter leur message".
Sullivan a expliqué : "Cela s'est produit à plusieurs reprises ces derniers mois, et même ces derniers jours", mais il n'est pas entré dans les détails exacts de la nature des canaux de communication utilisés, dans un effort pour les protéger. de la possibilité pour Moscou de recourir aux armes nucléaires.
Et avant que le président russe n'agite implicitement cette menace, Biden avait déclaré le 16 septembre, en réponse à une question à ce sujet, en disant : "Ne fais pas ça.. ne fais pas ça.. ne fais pas ça, tu vas changer le visage de la guerre d'une manière que nous n'avions pas vue depuis la Seconde Guerre mondiale." .
Après que le président russe se soit déclaré prêt à utiliser "tous ses moyens" de défense, Washington a de nouveau haussé le ton... soulignant qu'il prend cette menace "très au sérieux" et promettant une réponse "dure".
Se basant sur la gravité de la crise, "Jusoor Post" en a discuté avec des spécialistes pour analyser ces déclarations et ce qui pourrait déboucher sur des affaires.
Les forces de la Russie, de la Chine et d'autres ont mené des exercices navals conjoints, tandis que la Russie a récemment annoncé une percée majeure dans la technologie des armes hypersoniques.
Dans le même contexte, les inquiétudes concernant les dangers d'une confrontation entre la Chine et l'Amérique augmentent, en particulier avec l'intensification des exercices militaires de Pékin autour de Taïwan, alors que le message est devenu clair, à savoir que l'armée soutiendra les revendications de souveraineté de la Chine sur l'île.
Aujourd'hui, samedi, la Chine a commencé des exercices militaires autour de Taïwan, qu'elle considère comme un "avertissement sévère" à la suite de la courte visite de William Lai, vice-président de l'île, aux États-Unis.
L'agence de presse chinoise Xinhua, citant le porte-parole militaire Xi Yi, a déclaré : Le Commandement du théâtre oriental de l'Armée populaire de libération chinoise "a lancé des patrouilles aériennes et maritimes conjointes et des exercices militaires pour la marine et les forces aériennes autour de l'île de Taiwan".
Il a ajouté: "Les exercices visent à tester la capacité de l'armée à" contrôler 16 zones aériennes et maritimes et à combattre dans des conditions de combat réelles ".
Lai, qui est considéré comme le favori des élections présidentielles à Taïwan l'année prochaine, s'est récemment arrêté à New York lors de son voyage au Paraguay, l'un des rares pays à entretenir des relations diplomatiques avec Taipei, avant de s'arrêter à nouveau à San Francisco sur le chemin du retour.
La Chine a qualifié Lai de "fauteur de troubles" et s'est engagée à prendre "des mesures résolues et énergiques pour sauvegarder la souveraineté nationale".
Les experts estiment que le message est devenu clair, à savoir que l'armée soutiendra les revendications de souveraineté de la Chine sur l'île.
La Chine n'a pas réussi à empêcher la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, de se rendre à Taïwan au cours de la dernière période. Elle a déclaré : Cette visite a détruit la base de la confiance politique entre les deux plus grandes économies du monde.
Les analystes disent que le voyage a également probablement conduit à un changement dans le calcul militaire de la Chine.
La Chine a immédiatement réagi à la visite de Pelosi en organisant son plus grand exercice militaire jamais organisé autour de Taïwan.
L'Armée populaire de libération chinoise s'est entraînée pour la première fois aux opérations visant à bloquer l'île, ce qui pourrait être la première étape sur la voie d'une invasion.
Même avant les exercices, la Chine avait déclaré qu'elle avait la souveraineté sur le détroit, qui, selon les États-Unis et Taïwan, est une voie navigable internationale.
Avec la fin des exercices, la Chine a publié son premier rapport gouvernemental sur Taïwan depuis 2000, réaffirmant sa préférence pour la "réunification pacifique" avec Taïwan, mais elle est revenue sur son engagement de ne pas déployer de troupes à Taïwan après avoir pris le contrôle.
De nombreux experts estiment que la guerre en Ukraine n'est plus le seul danger qui menace le monde avec le déclenchement d'une guerre nucléaire, mais qu'il existe de réelles menaces, comme la possibilité d'un affrontement militaire entre les États-Unis et la Chine, qui se développe hors de contrôle, au point que la fierté des deux plus grandes puissances militaires du monde se heurte. .
Les observateurs se demandent dans ce contexte : Y aura-t-il une guerre nucléaire qui entraînera réellement le monde dans une troisième guerre mondiale, ou est-ce juste une guerre froide ?
Mais certains observateurs estiment que ce n'est qu'une question de temps avant que la situation ne devienne tendue et que les combats ne commencent... et que le monde doit se préparer à ce sombre avenir.
Sanaa - Saba : Abdul Aziz Al-Hazi
traduit par
A.A.A.
Les experts estiment que les grands pays du monde n'ont jamais exclu de leurs plans le déclenchement d'une troisième guerre mondiale, et l'expérience de la guerre froide leur a donné la meilleure preuve que les camps de l'Est et de l'Ouest faisaient la guerre et comment la gérer à au premier rang des priorités. Missiles à Cuba, Baie des Cochons, etc.).
L'expert militaire, le Dr Firas Shaboul, a déclaré dans une interview à l'agence russe "Spoutnik" qu'"il semble qu'il y avait des objectifs politiques cachés dirigés par les États-Unis en élargissant la portée de la guerre de la Russie et de l'Ukraine à l'Europe occidentale et en allumant la mèche". de guerre pour atteindre la scène de la Troisième Guerre mondiale ... et cela s'est transformé Le conflit s'est transformé en une guerre semi-ouverte entre la Russie d'une part et l'Ukraine et l'Occident, dirigés par les États-Unis, d'autre part.
Quant au monde d'aujourd'hui, les experts disent : "Il y a des aventuriers et peut-être chargés de pousser au bord d'une troisième guerre nucléaire qui ramènera l'humanité sur la planète Terre aux premiers débuts de l'humanité et de la civilisation."
Henry Kissinger, l'ancien conseiller à la sécurité nationale et homme d'État américain âgé de 95 ans, a récemment déclaré au Financial Times que "nous sommes dans une période très, très dangereuse pour le monde" et a comparé l'ère actuelle au début de la Seconde Guerre mondiale.
Kissinger dit : Les signes avant-coureurs de la Troisième Guerre mondiale sont apparus à l'horizon, et ses deux parties sont les États-Unis d'une part, et la Chine, la Russie, la Corée du Nord et d'autre part les États-Unis de son point de vue.
En effet... les chefs des grands pays ne travaillent pas selon la jurisprudence des priorités et de ce qu'il faut aligner pour résoudre la crise ukrainienne, et la guerre ne s'arrête pas à l'usage des armes, c'est plutôt une guerre psychologique menée par Joe Biden, président des États-Unis, en contrariant le monde et en l'intimidant face à la menace de l'ours russe d'utiliser le « nucléaire » dans son opération militaire privée en Ukraine.
L'un des principaux conseillers du président américain Joe Biden a récemment averti que les conséquences seraient "catastrophiques" si le président russe Vladimir Poutine mettait à exécution sa menace d'utiliser des armes nucléaires dans la guerre contre l'Ukraine.
Le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Jake Sullivan, a déclaré à NBC : Les États-Unis ont l'intention de faire clairement comprendre à la Russie "quelles seront les conséquences si elle emprunte la voie sombre de l'utilisation de l'arme nucléaire", soulignant que ces conséquences "seront catastrophiques". .
Il a ajouté : "Nous avons la capacité de parler directement à un haut niveau avec les Russes pour leur dire clairement quel est notre message et écouter leur message".
Sullivan a expliqué : "Cela s'est produit à plusieurs reprises ces derniers mois, et même ces derniers jours", mais il n'est pas entré dans les détails exacts de la nature des canaux de communication utilisés, dans un effort pour les protéger. de la possibilité pour Moscou de recourir aux armes nucléaires.
Et avant que le président russe n'agite implicitement cette menace, Biden avait déclaré le 16 septembre, en réponse à une question à ce sujet, en disant : "Ne fais pas ça.. ne fais pas ça.. ne fais pas ça, tu vas changer le visage de la guerre d'une manière que nous n'avions pas vue depuis la Seconde Guerre mondiale." .
Après que le président russe se soit déclaré prêt à utiliser "tous ses moyens" de défense, Washington a de nouveau haussé le ton... soulignant qu'il prend cette menace "très au sérieux" et promettant une réponse "dure".
Se basant sur la gravité de la crise, "Jusoor Post" en a discuté avec des spécialistes pour analyser ces déclarations et ce qui pourrait déboucher sur des affaires.
Les forces de la Russie, de la Chine et d'autres ont mené des exercices navals conjoints, tandis que la Russie a récemment annoncé une percée majeure dans la technologie des armes hypersoniques.
Dans le même contexte, les inquiétudes concernant les dangers d'une confrontation entre la Chine et l'Amérique augmentent, en particulier avec l'intensification des exercices militaires de Pékin autour de Taïwan, alors que le message est devenu clair, à savoir que l'armée soutiendra les revendications de souveraineté de la Chine sur l'île.
Aujourd'hui, samedi, la Chine a commencé des exercices militaires autour de Taïwan, qu'elle considère comme un "avertissement sévère" à la suite de la courte visite de William Lai, vice-président de l'île, aux États-Unis.
L'agence de presse chinoise Xinhua, citant le porte-parole militaire Xi Yi, a déclaré : Le Commandement du théâtre oriental de l'Armée populaire de libération chinoise "a lancé des patrouilles aériennes et maritimes conjointes et des exercices militaires pour la marine et les forces aériennes autour de l'île de Taiwan".
Il a ajouté: "Les exercices visent à tester la capacité de l'armée à" contrôler 16 zones aériennes et maritimes et à combattre dans des conditions de combat réelles ".
Lai, qui est considéré comme le favori des élections présidentielles à Taïwan l'année prochaine, s'est récemment arrêté à New York lors de son voyage au Paraguay, l'un des rares pays à entretenir des relations diplomatiques avec Taipei, avant de s'arrêter à nouveau à San Francisco sur le chemin du retour.
La Chine a qualifié Lai de "fauteur de troubles" et s'est engagée à prendre "des mesures résolues et énergiques pour sauvegarder la souveraineté nationale".
Les experts estiment que le message est devenu clair, à savoir que l'armée soutiendra les revendications de souveraineté de la Chine sur l'île.
La Chine n'a pas réussi à empêcher la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, de se rendre à Taïwan au cours de la dernière période. Elle a déclaré : Cette visite a détruit la base de la confiance politique entre les deux plus grandes économies du monde.
Les analystes disent que le voyage a également probablement conduit à un changement dans le calcul militaire de la Chine.
La Chine a immédiatement réagi à la visite de Pelosi en organisant son plus grand exercice militaire jamais organisé autour de Taïwan.
L'Armée populaire de libération chinoise s'est entraînée pour la première fois aux opérations visant à bloquer l'île, ce qui pourrait être la première étape sur la voie d'une invasion.
Même avant les exercices, la Chine avait déclaré qu'elle avait la souveraineté sur le détroit, qui, selon les États-Unis et Taïwan, est une voie navigable internationale.
Avec la fin des exercices, la Chine a publié son premier rapport gouvernemental sur Taïwan depuis 2000, réaffirmant sa préférence pour la "réunification pacifique" avec Taïwan, mais elle est revenue sur son engagement de ne pas déployer de troupes à Taïwan après avoir pris le contrôle.
De nombreux experts estiment que la guerre en Ukraine n'est plus le seul danger qui menace le monde avec le déclenchement d'une guerre nucléaire, mais qu'il existe de réelles menaces, comme la possibilité d'un affrontement militaire entre les États-Unis et la Chine, qui se développe hors de contrôle, au point que la fierté des deux plus grandes puissances militaires du monde se heurte. .
Les observateurs se demandent dans ce contexte : Y aura-t-il une guerre nucléaire qui entraînera réellement le monde dans une troisième guerre mondiale, ou est-ce juste une guerre froide ?
Mais certains observateurs estiment que ce n'est qu'une question de temps avant que la situation ne devienne tendue et que les combats ne commencent... et que le monde doit se préparer à ce sombre avenir.
Sanaa - Saba : Abdul Aziz Al-Hazi
traduit par
A.A.A.
resource : Saba