SANAA, 18 Juin (Saba) - La France a annoncé hier, le vendredi, l'interruption du flux de gaz en provenance de Russie via le gazoduc, en raison de différends entre les deux pays sur la guerre en Ukraine.
La société qui supervise le réseau de transport de gaz français, "GRT Gas", a indiqué selon l'Agence France-Presse, qu'elle n'avait plus reçu de gaz russe par gazoducs depuis le 15 juin, "le flux physique entre la France et l'Allemagne étant interrompu".
Le géant russe "Gazprom" a considérablement réduit ses expéditions vers les pays européens ces derniers jours pour des raisons techniques, notamment vers l'Allemagne via le gazoduc Nord Stream 1, ce qui aurait pu provoquer une rupture d'approvisionnement vers la France.
D'autre part, le russe "Gazprom" a notifié à la société italienne "Eni" hier, vendredi, qu'il ne fournirait que la moitié du volume de gaz requis.
Eni a soumis une demande quotidienne de gaz russe d'environ 63 millions de mètres cubes, tandis que Gazprom a annoncé qu'elle ne fournirait que 50% de la quantité requise vendredi.
Dans un contexte lié à la guerre en Ukraine, le journal américain "Washington Post" a révélé le jeudi que le FBI menait une enquête sur la manière dont la Russie avait obtenu des puces informatiques américaines pour les systèmes militaires en Ukraine.
Selon le journal, des enquêteurs américains enquêtent sur la manière dont la Russie a obtenu des puces informatiques de fabrication américaine qui ont été trouvées dans du matériel militaire saisi en Ukraine.
Le rapport du journal américain a déclaré que des agents fédéraux des deux agences enquêtaient déjà sur les entreprises américaines qui fabriquent les puces.
Le rapport explique que les puces, ainsi que d'autres composants de haute technologie fabriqués aux États-Unis et dans l'Occident collectif, ont été découverts dans des systèmes radar russes, des drones, des chars, des équipements de contrôle au sol et même des navires de combat côtiers pour la marine côtière.
Le rapport ajoute que certains des drones russes qui ont été abattus au-dessus de l'ouest de l'Ukraine étaient remplis de composants de haute technologie fabriqués en Occident.
De nombreux composants ont été fabriqués avant que les États-Unis n'imposent pour la première fois des sanctions économiques à la Russie en 2014, mais d'autres n'ont été fabriqués qu'en 2020.
Dans un autre contexte lié aux affaires de l’Europe, les données du gouvernement britannique ont montré une augmentation des cas de «coronavirus» de près d'un demi-million en une semaine, soit une augmentation pouvant atteindre 43%.
Selon les données, au cours de la semaine dernière, environ 1 415 600 personnes ont été infectées, contre 425 800 infections.
Il s'agit de la plus forte hausse du nombre de blessés enregistrée depuis mai dernier, mais elle reste bien en deçà du niveau record de 4,9 millions fin mars.
Et en janvier dernier, le Royaume-Uni a annoncé la levée de toutes les restrictions de «corona», y compris le port obligatoire d'une muselière, les instructions pour le travail à domicile et les « certificats de vaccination ».
A.A.A.
La société qui supervise le réseau de transport de gaz français, "GRT Gas", a indiqué selon l'Agence France-Presse, qu'elle n'avait plus reçu de gaz russe par gazoducs depuis le 15 juin, "le flux physique entre la France et l'Allemagne étant interrompu".
Le géant russe "Gazprom" a considérablement réduit ses expéditions vers les pays européens ces derniers jours pour des raisons techniques, notamment vers l'Allemagne via le gazoduc Nord Stream 1, ce qui aurait pu provoquer une rupture d'approvisionnement vers la France.
D'autre part, le russe "Gazprom" a notifié à la société italienne "Eni" hier, vendredi, qu'il ne fournirait que la moitié du volume de gaz requis.
Eni a soumis une demande quotidienne de gaz russe d'environ 63 millions de mètres cubes, tandis que Gazprom a annoncé qu'elle ne fournirait que 50% de la quantité requise vendredi.
Dans un contexte lié à la guerre en Ukraine, le journal américain "Washington Post" a révélé le jeudi que le FBI menait une enquête sur la manière dont la Russie avait obtenu des puces informatiques américaines pour les systèmes militaires en Ukraine.
Selon le journal, des enquêteurs américains enquêtent sur la manière dont la Russie a obtenu des puces informatiques de fabrication américaine qui ont été trouvées dans du matériel militaire saisi en Ukraine.
Le rapport du journal américain a déclaré que des agents fédéraux des deux agences enquêtaient déjà sur les entreprises américaines qui fabriquent les puces.
Le rapport explique que les puces, ainsi que d'autres composants de haute technologie fabriqués aux États-Unis et dans l'Occident collectif, ont été découverts dans des systèmes radar russes, des drones, des chars, des équipements de contrôle au sol et même des navires de combat côtiers pour la marine côtière.
Le rapport ajoute que certains des drones russes qui ont été abattus au-dessus de l'ouest de l'Ukraine étaient remplis de composants de haute technologie fabriqués en Occident.
De nombreux composants ont été fabriqués avant que les États-Unis n'imposent pour la première fois des sanctions économiques à la Russie en 2014, mais d'autres n'ont été fabriqués qu'en 2020.
Dans un autre contexte lié aux affaires de l’Europe, les données du gouvernement britannique ont montré une augmentation des cas de «coronavirus» de près d'un demi-million en une semaine, soit une augmentation pouvant atteindre 43%.
Selon les données, au cours de la semaine dernière, environ 1 415 600 personnes ont été infectées, contre 425 800 infections.
Il s'agit de la plus forte hausse du nombre de blessés enregistrée depuis mai dernier, mais elle reste bien en deçà du niveau record de 4,9 millions fin mars.
Et en janvier dernier, le Royaume-Uni a annoncé la levée de toutes les restrictions de «corona», y compris le port obligatoire d'une muselière, les instructions pour le travail à domicile et les « certificats de vaccination ».
A.A.A.
resource : Saba