SANAA, 13 juillet (Saba) - Le Parlement a fermement condamné lundi les crimes continus de la coalition d'agression dirigée par l'Arabie saoudite contre le peuple yéménite, dont la dernière visait une maison de citoyens au district de Washha, dans la province de Hajjah, qui a tué dix civils, dont des femmes et enfants.
Lors de sa session, le Parlement a affirmé que le silence international et la politique de double standard ont contribué à la persistance des pays de la coalition d'agression à tuer des femmes et des enfants et à commettre davantage de crimes au Yémen, ce qui fait que les Nations Unies et tous ses affiliés sont impliqués dans ces massacres.
Les membres du Parlement ont considéré ces massacres et crimes comme une tache sur le front des institutions internationales qui sont censées soutenir les victimes, pas dans les rangs du bourreau et du tueur d'enfants et de femmes.
Ils ont appelé à une enquête rapide sur tous les crimes documentés en tant que crimes de guerre qui ne tombent pas sous le coup de la prescription.
À cet égard, la Chambre des représentants a adressé une lettre au Secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies et à un certain nombre de chefs de fédérations et de parlements arabes et internationaux ainsi qu'au Conseil des droits de l'homme, dans laquelle elle affirmait que l'agression et le blocus imposés au Yémen par les pays de la coalition d'agression dirigée par l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis depuis mars 2015 après JC, a entraîné la destruction des infrastructures et de toutes les capacités du peuple yéménite.
La lettre expliquait que le peuple yéménite vivait la plus grande catastrophe humanitaire au monde, en particulier après la propagation du virus Corona à la vue de la communauté internationale, du Conseil de sécurité, des Nations Unies et des organismes internationaux et régionaux des droits de l'homme.
La lettre de la Chambre a confirmé que le Parlement de la capitale, Sanaa, est le seul représentant du peuple yéménite dans tous ses segments et spectres politiques, sociaux et culturels, mettant en garde contre la signature par le gouvernement mercenaire de contrats et accords pétroliers et gaziers et la vente de la richesse et les capacités du peuple yéménite sous n'importe quel nom.