Téhéran-Saba :
Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères chargé des affaires juridiques et internationales, Kazem Gharibabadi, a affirmé hier mardi que les sanctions ont privé le peuple iranien d'équipements médicaux, notant que ces sanctions font partie de la politique dite de « pression maximale » contre l'Iran.
S'exprimant lors d'une conférence sur « Les sanctions unilatérales et l'accès à la justice aux niveaux national, régional et international », Gharibabadi a déclaré mardi, selon l'agence de presse iranienne IRNA : « Les sanctions privent les gens de leur droit à la vie. La République islamique d'Iran est un exemple clair de pays dont la population vit sous sanctions depuis des décennies.»
Il a ajouté : « Ces sanctions ont été imposées dans le cadre de la politique dite de pression maximale contre l'Iran et ont restreint l'accès aux équipements médicaux et de santé pour les patients souffrant de cancer ou d'autres maladies chroniques. » Ils ne peuvent pas recevoir les traitements dont ils ont besoin.
Il a souligné que la raison en est le refus des banques internationales d'effectuer des transactions bancaires avec l'Iran, considérant cela comme une « destruction collective ».
