SANAA Mars 19. 2024 (Saba) –Les États-Unis d’Amérique et les pays occidentaux ont ouvertement ignoré les droits de l’homme et ont empêché un « cessez-le-feu » en utilisant le « veto » pour mettre fin aux massacres et à l’extermination commis par l’ennemi sioniste contre les civils palestiniens dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre dernier. ce qui a incité l'entité usurpatrice, hier soir, à commencer à gérer la ville de Rafah et à passer à autre chose. Il a poursuivi ses projets.
Ainsi, il semble que l’ennemi sioniste continue ses projets d’envahir Rafah et de commettre davantage de meurtres, de massacres et de génocides sous les yeux du monde entier.
Dans ce contexte, le ministère palestinien des Affaires étrangères a confirmé que l’entité usurpatrice « a commencé à détruire la ville de Rafah, au sud de la bande de Gaza, sans attendre la permission de qui que ce soit, ni l’annoncer pour éviter les réactions internationales ».
Le ministère a condamné dans les termes les plus fermes « le bombardement brutal et sanglant commis par les forces ennemies sionistes contre le peuple palestinien, qui s'est intensifié de façon insensée depuis hier et s'est concentré aujourd'hui à l'aube en ciblant des maisons situées au-dessus des têtes de leurs habitants à Rafah ». , laissant des dizaines de martyrs, blessés et disparus sous les décombres. »
Malgré les appels répétés de la communauté internationale à un « cessez-le-feu immédiat et permanent » dans la bande de Gaza, et les exigences après l'attaque de Rafah en raison de la « catastrophe humanitaire sans précédent » dans la bande de Gaza, l'entité sioniste ne prête aucune attention aux États-Unis, Appels, appels et exigences occidentaux et internationaux pour ne pas attaquer Rafah.
Après l'agression sioniste contre Gaza le 7 octobre 2023, Rafah est devenue un foyer forcé pour les Palestiniens déplacés de toute la bande de Gaza, dont le nombre a atteint plus d'un million, vivant dans des conditions humanitaires difficiles et sous la pression sioniste visant à les déplacer vers la bande de Gaza. Péninsule du Sinaï.
La population du gouvernorat de Rafah est d'environ 260 000 habitants, tandis que la population de la ville est d'environ 191 000 habitants, selon le Bureau central palestinien des statistiques pour l'année 2021.
La plupart des habitants de Rafah font remonter leurs origines aux Bédouins du Néguev, du désert du Sinaï et de la ville voisine de Khan Yunis, et ils ont été rejoints après 1948 par de nombreux immigrants venus de différentes parties de la Palestine occupée et de la bande de Gaza.
De nombreuses organisations telles qu'Oxfam, Médecins sans frontières, Médecins du Monde, Handicap International, Action contre la Faim, International Urgence, Secours Islamique en France, Fédération Internationale des Droits de l'Homme, Amnesty International, ActionAid International et le Comité catholique contre la faim ont confirmé Développement et d'autres organisations "appellent collectivement et mondialement à un cessez-le-feu immédiat".
Mais l’administration Biden continue d’entraver les efforts internationaux en tergiversant et en négociant aux côtés de l’entité usurpatrice pour le cessez-le-feu, et utilise parfois son veto au Conseil de sécurité, et encourage à d’autres moments l’entité sioniste, à travers les déclarations contradictoires de ses responsables, à rejeter les négociations ou prolonger leur durée, afin que l'entité usurpatrice puisse continuer à bombarder, à tuer des civils, à commettre un génocide et à affamer la population.
Dans ce contexte, le porte-parole du Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme a déclaré mardi que l’obstruction par Israël de l’aide humanitaire à Gaza et la possibilité d’utiliser la famine comme arme de guerre « pourraient constituer un crime de guerre ».
Bien que le secrétaire d'État américain Anthony Blinken ait déclaré que tous les habitants de Gaza souffraient de « niveaux élevés d'insécurité alimentaire aiguë », les États-Unis d'Amérique n'ont pas réellement fait pression sur l'entité sioniste pour qu'elle apporte de l'aide par voie terrestre, malgré l'accent mis par Blinken sur le nécessité urgente d’augmenter l’acheminement de l’aide humanitaire.
Alors que l'agression contre Gaza entrait dans son sixième mois, le visage laid de la politique américaine sur les questions d'ordre international, de démocratie et de droits de l'homme est devenu clair pour le monde à travers ses actions hégémoniques qu'il a utilisées pour tromper le monde et cacher sa nature à travers une fausse démocratie. , depuis le début de l'agression contre Gaza le 7 octobre, et la position américaine sur l'agression est cohérente avec l'entité de l'ennemi, selon de nombreux observateurs.
Dans le même temps, la position américaine est cohérente avec la position sioniste, qui souligne toujours la nécessité de poursuivre l’agression contre Gaza, malgré les milliers de victimes attendues parmi les civils palestiniens.
Les observateurs soulignent également que la position américaine, qui soutient la poursuite de l'agression contre Gaza, est confirmée par l'arrivée de davantage de munitions et d'armes américaines à l'entité ennemie sioniste, pour l'encourager à poursuivre l'agression.
Le président américain Joe Biden et son administration relâchent également la main de l’entité usurpatrice pour poursuivre son agression militaire dévastatrice contre Gaza.
Pendant longtemps, l’entité sioniste a ignoré les principes fondamentaux du droit international qui interdisent le recours illégal à la force et a lancé de manière flagrante une agression sans précédent contre la bande de Gaza, assiégée depuis de nombreuses années.
C'est le même cas. Les États-Unis ont fermé les yeux sur les violations des droits de l'homme par l'entité sioniste, sur l'incitation à la discrimination raciale et à la haine et sur la tentative de déplacement forcé des Palestiniens de la bande de Gaza, et ce faisant, ils violent gravement une série d'accords et de réglementations internationales, notamment la Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale, la Convention internationale pour la protection des droits de l'homme et la Convention américaine relative aux droits de l'homme.
En tergiversant et en donnant le feu vert au cours des six derniers mois à l’ennemi sioniste pour bombarder, tuer, détruire et exterminer, les États-Unis ont de plus en plus révélé leur fausse démocratie et la fausseté de leur défense de la liberté et des droits de l’homme.
Sanaa - Saba : Abdulaziz Al-Hazi
traduit par
A.A.A.
